À bout de patienceLa Terre est fatiguée. Son œil jaune voit rouge :Le Soleil devient fou ! Il s'empiffre de glace !Un iceberg est mort... Le désert prend sa place.Mais l'humain reste coi. Il parle et
Publié le 03 août 2025
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À bout de patience
La Terre est fatiguée. Son œil jaune voit rouge :
Le Soleil devient fou ! Il s'empiffre de glace !
Un iceberg est mort... Le désert prend sa place.
Mais l'humain reste coi. Il parle et rien ne bouge.
L’Univers impassible assiste au désastre
Qui n’arrive à troubler le vide ni les astres
Sur la planète bleue des tempêtes s’agitent
Sous le feu des volcans, vois la vie prend la gite.
Les animaux en sont les premières victimes.Espèce après espèce, on en voit l'extinction.Mais l'humain, malgré tout, reste dans l'inaction,Niant être coupable de ces tristes crimes.
Les animaux en sont les premières victimes.
Espèce après espèce, on en voit l'extinction.
Mais l'humain, malgré tout, reste dans l'inaction,
Niant être coupable de ces tristes crimes.
Longtemps au fil des ères sur on observa ces scènes
Où de grands prédateurs imposèrent leur loi
Mais dans tous ces combats il n’y avait rien d’obscène
Car tous ils respectaient la nature et ses droits.
La terre est fatiguée et à bout de patience
Elle en a appelé pourtant à la prudence
Mais les hommes hélas sont demeurés bien sourds
À tous ses grondements qui étaient pleins d’amour.
La Terre est fatiguée. Son œil jaune voit rouge :
Le Soleil devient fou ! Il s'empiffre de glace !
Un iceberg est mort... Le désert prend sa place.
Mais l'humain reste coi. Il parle et rien ne bouge.
L’Univers impassible assiste au désastre
Qui n’arrive à troubler le vide ni les astres
Sur la planète bleue des tempêtes s’agitent
Sous le feu des volcans, vois la vie prend la gite.
Les animaux en sont les premières victimes.Espèce après espèce, on en voit l'extinction.Mais l'humain, malgré tout, reste dans l'inaction,Niant être coupable de ces tristes crimes.
Les animaux en sont les premières victimes.
Espèce après espèce, on en voit l'extinction.
Mais l'humain, malgré tout, reste dans l'inaction,
Niant être coupable de ces tristes crimes.
Longtemps au fil des ères sur on observa ces scènes
Où de grands prédateurs imposèrent leur loi
Mais dans tous ces combats il n’y avait rien d’obscène
Car tous ils respectaient la nature et ses droits.
La terre est fatiguée et à bout de patience
Elle en a appelé pourtant à la prudence
Mais les hommes hélas sont demeurés bien sourds
À tous ses grondements qui étaient pleins d’amour.

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