À facettes.
Publié le 03 août 2025
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Que me dis-tu mon corps ?
Toi qui hier toujours en réclamais encore
Tu manques à présent d’énergie, de ressort
Tu sens bien que le temps te mène au dernier port.
Que dis-tu mon esprit ?
Que de la vie hélas tu n’as pas tout compris
Mais tu sais que rêver cela n’a pas de prix
Et que de songeries tu demeures épris.
Que me dis-tu mon coeur ?
Que tu sais tes erreurs au gré de tes humeurs
Toi qui sais difficile de trouver l’âme sœur
Avec qui partager jusqu’à la dernière heure.
Que me dis-tu mon âme ?
Que tu souffres de voir grouiller tous les infâmes
Que tu sais un ailleurs sans violence ni drame
Où trouver cette paix que souvent tu réclames.
Que vous dirai-je à tous que ne sachez déjà
Puisque vous êtes vous, connaissant tout de moi ?
Que je sens oh combien l’harmonie nécessaire
Entre ceux qui composent mon être à facettes.
Seule la poésie qui naît dedans la tête
M’apporte plus que tout cette paix que j’espère.
Toi qui hier toujours en réclamais encore
Tu manques à présent d’énergie, de ressort
Tu sens bien que le temps te mène au dernier port.
Que dis-tu mon esprit ?
Que de la vie hélas tu n’as pas tout compris
Mais tu sais que rêver cela n’a pas de prix
Et que de songeries tu demeures épris.
Que me dis-tu mon coeur ?
Que tu sais tes erreurs au gré de tes humeurs
Toi qui sais difficile de trouver l’âme sœur
Avec qui partager jusqu’à la dernière heure.
Que me dis-tu mon âme ?
Que tu souffres de voir grouiller tous les infâmes
Que tu sais un ailleurs sans violence ni drame
Où trouver cette paix que souvent tu réclames.
Que vous dirai-je à tous que ne sachez déjà
Puisque vous êtes vous, connaissant tout de moi ?
Que je sens oh combien l’harmonie nécessaire
Entre ceux qui composent mon être à facettes.
Seule la poésie qui naît dedans la tête
M’apporte plus que tout cette paix que j’espère.

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