À la source.
Publié le 03 août 2025
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Les conflits et les guerres sont bien passés par là
De même les saisons où fleurit le lila
Des hommes ont vécu et des gens y sont morts
Et ont tous éprouvé des joies et des remords
Mais le ruisseau coulait apportant son eau fraiche
Mais la source s’offrait, sans connaître de trêve.
La forêt reculait sous l’emprise des champs
Les maisons remplaçaient quelques vieux mas d’antan
Les routes goudronnées effaçaient les chemins
Aux usines les hommes fournissaient leurs deux mains
Mais le ruisseau coulait apportant son eau fraîche
Mais la source s’offrait sans connaître de trêve
Puis un jour tous les champs se trouvèrent en jachère
Les maisons désertées, les usines, misère
Un pays presque mort et vide d’habitants
Que s’était-il passé pour qu’il souffre autant ?
Le ruisseau lentement s’est tari à jamais
La source de naguère ne pointait plus son nez.
De même les saisons où fleurit le lila
Des hommes ont vécu et des gens y sont morts
Et ont tous éprouvé des joies et des remords
Mais le ruisseau coulait apportant son eau fraiche
Mais la source s’offrait, sans connaître de trêve.
La forêt reculait sous l’emprise des champs
Les maisons remplaçaient quelques vieux mas d’antan
Les routes goudronnées effaçaient les chemins
Aux usines les hommes fournissaient leurs deux mains
Mais le ruisseau coulait apportant son eau fraîche
Mais la source s’offrait sans connaître de trêve
Puis un jour tous les champs se trouvèrent en jachère
Les maisons désertées, les usines, misère
Un pays presque mort et vide d’habitants
Que s’était-il passé pour qu’il souffre autant ?
Le ruisseau lentement s’est tari à jamais
La source de naguère ne pointait plus son nez.

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