À lauberge St Paul
Publié le 03 août 2025
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Sous l’ombrage accueillant de l’arbre sur la place
Bien assis, détendu, je déguste une glace.
Nul effort, nul exploit pour trouver ce plaisir
Il reste à la portée de qui veut bien venir.
Rien d’extravagant, rien d’extraordinaire
Ce sont des choses simples qui offrent ces moments
À chacun appartient de s’en montrer gourmand
Sans avoir à chercher tout au bout de la Terre.
Nombreux sont, c’est heureux, pour s’en satisfaire
Ailleurs que sur un yacht, ou que pour partir faire
Un voyage inutile, choisi sur planisphère,
Ici je vous assure, exquise est l’atmosphère !
Autour de moi des pierres et des murs séculaires
Assez pour méditer sur le temps et la vie.
De me bouger de là, je n’ai aucune envie,
J’aime trop cet instant suspendu, et cet air.
Un arrêt, un repos, ce jour à Villefranche
La porte du Conflent et jadis de la France
L’été est la saison où le corps s’abandonne
J’entends en profiter, tiens, un clocher qui sonne !
Bien assis, détendu, je déguste une glace.
Nul effort, nul exploit pour trouver ce plaisir
Il reste à la portée de qui veut bien venir.
Rien d’extravagant, rien d’extraordinaire
Ce sont des choses simples qui offrent ces moments
À chacun appartient de s’en montrer gourmand
Sans avoir à chercher tout au bout de la Terre.
Nombreux sont, c’est heureux, pour s’en satisfaire
Ailleurs que sur un yacht, ou que pour partir faire
Un voyage inutile, choisi sur planisphère,
Ici je vous assure, exquise est l’atmosphère !
Autour de moi des pierres et des murs séculaires
Assez pour méditer sur le temps et la vie.
De me bouger de là, je n’ai aucune envie,
J’aime trop cet instant suspendu, et cet air.
Un arrêt, un repos, ce jour à Villefranche
La porte du Conflent et jadis de la France
L’été est la saison où le corps s’abandonne
J’entends en profiter, tiens, un clocher qui sonne !

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