A mes vieux camarades.
Publié le 03 août 2025
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Oh vous mes camarades depuis longtemps perdus de vue
Parfois je me demande, qu’êtes-vous devenus ?
Est-ce que la camarde vous a rendu visite
Ou de joyeuses bandes vos vies toujours profitent ?
Nous vivions tous si proches en ces temps d’autrefois
Ni comme des gavroches, ni comme hommes de foi
Mais en bons compagnons associés à l’ouvrage
Dépourvus de pognon, ni gredins pas plus sages
Nous fûmes séparés par milles circonstances
Tous ces choix que l’on fait, qui tout mettent en balance.
Mais je garde au cœur ces souvenirs précieux
De tous ces beaux labeurs qu’on fit sous mêmes cieux.
Si les fils du hasard nous remettent en présence
Que ce soit Balthazar ou ma chère Florence
Sachez vieux camarades, vous êtes bienvenus !
Mon hospitalité est pour vous au menu.
Oh vous mes camarades où que vous vous trouviez
Soyez tous convaincus de ma chaude amitié
J’ai quelque nostalgie rien qu’à vous évoquer
J’aime nos aventures bien souvent invoquer.
Parfois je me demande, qu’êtes-vous devenus ?
Est-ce que la camarde vous a rendu visite
Ou de joyeuses bandes vos vies toujours profitent ?
Nous vivions tous si proches en ces temps d’autrefois
Ni comme des gavroches, ni comme hommes de foi
Mais en bons compagnons associés à l’ouvrage
Dépourvus de pognon, ni gredins pas plus sages
Nous fûmes séparés par milles circonstances
Tous ces choix que l’on fait, qui tout mettent en balance.
Mais je garde au cœur ces souvenirs précieux
De tous ces beaux labeurs qu’on fit sous mêmes cieux.
Si les fils du hasard nous remettent en présence
Que ce soit Balthazar ou ma chère Florence
Sachez vieux camarades, vous êtes bienvenus !
Mon hospitalité est pour vous au menu.
Oh vous mes camarades où que vous vous trouviez
Soyez tous convaincus de ma chaude amitié
J’ai quelque nostalgie rien qu’à vous évoquer
J’aime nos aventures bien souvent invoquer.

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