Agitation
Publié le 03 août 2025
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Il dit qu’il veut sa vie toute emplie de surprises,
De grandes découvertes, de rencontres magiques,
De voyages lointains, d’expériences uniques.
Il la souhaite effrénée, tout autant qu’exquise.
Il se rit des dangers dont est semée sa route
Il n’a au fond du cœur, en tapinois, de doute.
Car c’est à pleines dents qu’il dévore sa vie
Pour que rien ne résiste à ses moindres envies.
Pourtant sur son chemin que d’embûches et d’obstacle,
Il n’est pavé de roses, il n’y a de miracle.
De blessures en blessures et mille cicatrices
Il comprend ses revers et tous ses sacrifices.
Aura-t-il des regrets, aura-t-il des remords ?
De n’avoir tout connu jusqu’à sa propre mort ?
D’avoir fait quelques choix dont les doigts il se mord ?
Non ! Un tel caractère, lui, jamais, n’en démord !
Pourtant à bout de souffle il viendra se poser
En un lieu isolé, en quelqu’endroit tranquille
Là il découvrira des extases subtiles
Qu’éprouve dans le silence, qui ose l’épouser.
Fini les turbulences, la vaine agitation
Pour que l’esprit s’élève par la méditation
Il faut l’apaisement de la contemplation.
Pour entrer dans le monde, il faut couper le son.
Pour trouver l’équilibre mieux vaut fermer les yeux
Par le souffle du monde se laisser pénétrer
Ressentir tous les vents, la force des marées
L’énergie de la vie et tout son merveilleux.
Tu peux tourner cent fois tout autour de la terre
Sans jamais obtenir de réponse au mystère.
Tu peux t’asseoir aussi et écouter le vent
L’entendre murmurer et devenir savant.
De grandes découvertes, de rencontres magiques,
De voyages lointains, d’expériences uniques.
Il la souhaite effrénée, tout autant qu’exquise.
Il se rit des dangers dont est semée sa route
Il n’a au fond du cœur, en tapinois, de doute.
Car c’est à pleines dents qu’il dévore sa vie
Pour que rien ne résiste à ses moindres envies.
Pourtant sur son chemin que d’embûches et d’obstacle,
Il n’est pavé de roses, il n’y a de miracle.
De blessures en blessures et mille cicatrices
Il comprend ses revers et tous ses sacrifices.
Aura-t-il des regrets, aura-t-il des remords ?
De n’avoir tout connu jusqu’à sa propre mort ?
D’avoir fait quelques choix dont les doigts il se mord ?
Non ! Un tel caractère, lui, jamais, n’en démord !
Pourtant à bout de souffle il viendra se poser
En un lieu isolé, en quelqu’endroit tranquille
Là il découvrira des extases subtiles
Qu’éprouve dans le silence, qui ose l’épouser.
Fini les turbulences, la vaine agitation
Pour que l’esprit s’élève par la méditation
Il faut l’apaisement de la contemplation.
Pour entrer dans le monde, il faut couper le son.
Pour trouver l’équilibre mieux vaut fermer les yeux
Par le souffle du monde se laisser pénétrer
Ressentir tous les vents, la force des marées
L’énergie de la vie et tout son merveilleux.
Tu peux tourner cent fois tout autour de la terre
Sans jamais obtenir de réponse au mystère.
Tu peux t’asseoir aussi et écouter le vent
L’entendre murmurer et devenir savant.

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