Alertes.
Publié le 03 août 2025
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Les ans se suivent et point ne se ressemblent
J’en ai la conviction à revoir ce me semble
Des photos archivées de ces mois de décembre
Réveillant souvenirs parmi les tas de cendres.
Il pèse aujourd’hui trop lourd sur nos consciences
Ce sentiment diffus dont on a tous prescience
Que l’on vit le début d’un trop long cauchemar
Et que c’en est fini de nos vies de fêtards.
Même si l’on savait le prix des vœux lancés
En ces début d’année, le futur souriait.
On espérait encore y voir s’améliorer
Quelques uns des problèmes que déjà on vivait.
La lumière est partie, partout le crépuscule
L’impuissance éprouvée alors que tout bascule
Des promesses envolées, des prévisions très sombres
L’espoir se cache bien au milieu de ces ombres.
Je vole chaque instant d’un bonheur trop précieux
Comme si en seraient demain privés mes yeux.
J’entend le bruissement d’un rideau qui s’abat
Sur la pièce où les hommes s’agitent ici-bas.
Je me replonge aussi dans ces Noëls enfuis
Dans tous ces ans nouveaux à présent bien rassis
J’éprouve à les revoir un sentiment de perte
Dans ces temps moins troublés par de constantes alertes.
J’en ai la conviction à revoir ce me semble
Des photos archivées de ces mois de décembre
Réveillant souvenirs parmi les tas de cendres.
Il pèse aujourd’hui trop lourd sur nos consciences
Ce sentiment diffus dont on a tous prescience
Que l’on vit le début d’un trop long cauchemar
Et que c’en est fini de nos vies de fêtards.
Même si l’on savait le prix des vœux lancés
En ces début d’année, le futur souriait.
On espérait encore y voir s’améliorer
Quelques uns des problèmes que déjà on vivait.
La lumière est partie, partout le crépuscule
L’impuissance éprouvée alors que tout bascule
Des promesses envolées, des prévisions très sombres
L’espoir se cache bien au milieu de ces ombres.
Je vole chaque instant d’un bonheur trop précieux
Comme si en seraient demain privés mes yeux.
J’entend le bruissement d’un rideau qui s’abat
Sur la pièce où les hommes s’agitent ici-bas.
Je me replonge aussi dans ces Noëls enfuis
Dans tous ces ans nouveaux à présent bien rassis
J’éprouve à les revoir un sentiment de perte
Dans ces temps moins troublés par de constantes alertes.

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