Allégresse.
Publié le 03 août 2025
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Depuis quand n’ai-je pas ressenti d’allégresse ?
Cela semble si loin, autant que ma jeunesse !
Quand j’étais impatient de connaître la suite,
Quand tout était ardeur dans ma propre conduite.
Aujourd’hui oh combien je me sens différent
La joie n’a plus le sel, ni non plus le piment
Celui qui relevait les tous meilleurs moments
De cet adolescent que je fus bien, pourtant.
Je dois faire mon miel d’émotions moins puissantes
Et m’estimer heureux que mon corps en ressente.
Je glane ici et là caresse ou sourire
Qui alimentent un peu ma propre envie de vivre.
Accepter est le mot qui crie ses vérités
Renoncer tel est l’autre qui marche à ses côtés
Je voudrais bien parfois un peu me révolter
Mais où est l’énergie sur laquelle compter ?
Mon âme est prisonnière de la cage du temps
Ses barreaux se resserrent un peu plus chaque jour
Pour me dire entends, bientôt sera ton tour,
Je sais plus que jamais bien sûr ce qui m’attend.
Mais le soleil est là qui tape à ma fenêtre
Qui me dis, je suis là, ressens-tu ce bien être ?
N’écoute pas ces voix qui voudraient te voler
Tout ce temps qui te reste pour encore voler !
Alors je me secoue, je chasse ces pensées
Je me lève et je vais dehors pour respirer
Le ciel bleu les montagnes je m’en vais admirer
Et je sens l’allégresse qui vient me soulever.
Cela semble si loin, autant que ma jeunesse !
Quand j’étais impatient de connaître la suite,
Quand tout était ardeur dans ma propre conduite.
Aujourd’hui oh combien je me sens différent
La joie n’a plus le sel, ni non plus le piment
Celui qui relevait les tous meilleurs moments
De cet adolescent que je fus bien, pourtant.
Je dois faire mon miel d’émotions moins puissantes
Et m’estimer heureux que mon corps en ressente.
Je glane ici et là caresse ou sourire
Qui alimentent un peu ma propre envie de vivre.
Accepter est le mot qui crie ses vérités
Renoncer tel est l’autre qui marche à ses côtés
Je voudrais bien parfois un peu me révolter
Mais où est l’énergie sur laquelle compter ?
Mon âme est prisonnière de la cage du temps
Ses barreaux se resserrent un peu plus chaque jour
Pour me dire entends, bientôt sera ton tour,
Je sais plus que jamais bien sûr ce qui m’attend.
Mais le soleil est là qui tape à ma fenêtre
Qui me dis, je suis là, ressens-tu ce bien être ?
N’écoute pas ces voix qui voudraient te voler
Tout ce temps qui te reste pour encore voler !
Alors je me secoue, je chasse ces pensées
Je me lève et je vais dehors pour respirer
Le ciel bleu les montagnes je m’en vais admirer
Et je sens l’allégresse qui vient me soulever.

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