Allers-retours.
Publié le 03 août 2025
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Remplie d’allers-retours ma vie de tous les jours,
Entre le prosaïque des gestes quotidiens
Et l’échappée rebelle à tous ces petits riens
Dans des pensées nourries par d’étranges labours,
Dans le monde des rêves que l’imagination
Construit sans les barrières des règles et des normes
Dans ces lieux où n’existe que nos aspirations
À vivre libéré des pressions du conforme.
À la moindre occasion j’emprunte le parcours
Auquel les mots m’invitent lorsque j’y ai recours
Où je puis libérer mes angoisses et mes craintes
Où je sais tout entendre les rires et les plaintes.
Combien ces évasions me sont si nécessaires
Que de respirations elles m’offrent envers
Et contre tout, malgré tous les revers
Que connaît notre espoir de voir un jour sur terre
S’installer la raison, le bonheur et la paix
Cesser ces combats où ne règne que l’épée
S’établir entre humains une saine concorde
Que la chair d’un beau fruit soit la seule qu’on morde.
Tant que tout cela n’est, tous mes allers-retours
Seront un oxygène auquel j’aurai recours
Pour trouver cette force dont se nourrit le rêve
Ils occupent en moi la place qu’ont les trêves.
Entre le prosaïque des gestes quotidiens
Et l’échappée rebelle à tous ces petits riens
Dans des pensées nourries par d’étranges labours,
Dans le monde des rêves que l’imagination
Construit sans les barrières des règles et des normes
Dans ces lieux où n’existe que nos aspirations
À vivre libéré des pressions du conforme.
À la moindre occasion j’emprunte le parcours
Auquel les mots m’invitent lorsque j’y ai recours
Où je puis libérer mes angoisses et mes craintes
Où je sais tout entendre les rires et les plaintes.
Combien ces évasions me sont si nécessaires
Que de respirations elles m’offrent envers
Et contre tout, malgré tous les revers
Que connaît notre espoir de voir un jour sur terre
S’installer la raison, le bonheur et la paix
Cesser ces combats où ne règne que l’épée
S’établir entre humains une saine concorde
Que la chair d’un beau fruit soit la seule qu’on morde.
Tant que tout cela n’est, tous mes allers-retours
Seront un oxygène auquel j’aurai recours
Pour trouver cette force dont se nourrit le rêve
Ils occupent en moi la place qu’ont les trêves.

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