Amour et tolérance
Publié le 03 août 2025
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Quelle est la bonne jauge, la correcte mesure
En quoi peut-on juger ou opérer censure ?
Quand on sait qu’on ne sait qu’une partie des choses
N’est-il présomptueux qu’on choisisse ou propose ?
C’est déjà bien ardu de décider pour soi
De bien faire le tri, retenir ce qu’on croit.
Comment lors imposer quoi que ce soit à d’autres
Or respecter chacun, sans être un apôtre.
Cela n’empêche en rien de dire haut et fort
Tout ce à quoi l’on tient, à l’amour, à la joie
Afin de parvenir à étouffer la haine
Qui ne fait qu’ajouter à la liste des peines.
Quels sont les bons repères, les valeurs souveraines
Celles qui sonnent justes dans nos cœurs, sans problème
Que retenir enfin du discours de nos pères
Sinon que la violence est fille de la haine.
Nous sommes tous sujets à de forts coups de sang
Mais il faut distinguer quand il est indécent.
Ce n’est jamais l’amour, qui n’est, s’il est violent
C’est la fureur en nous qui appelle le sang.
Quelle est la bonne jauge, la correcte mesure
Quand l’amour, l’amitié ne sont dans nos natures
Que si nous cultivons sans faillir ces valeurs
Que nous les conservons présentes dans nos cœurs.
—————-
respect et légitime défense.
Certes quelqu’un a dit si un jour on te frappe
Tends alors l’autre joue, dans l’amour tu te drapes,
Je n’ai pas quant à moi cette patience là
J’essaierai je l’avoue de mettre le holà.
Par réflexe et défense, pour répondre à l’offense
Sans entrer pour autant dans cette folle danse
Celle de l’escalade, celle du toujours plus
Jusqu’à ce qu’il y ait un vainqueur, un vaincu.
Je ferai si possible tout pour calmer le jeu
Ne point envenimer les choses pour nous deux
Si hélas j’ai affaire à un très belliqueux
S’il est sourd et aveugle, je me battrai au mieux.
Car quoique l’on en dise la vie nous tient à cœur
On ne veut la donner pour des questions d’honneur
Si ce n’est pour sauver des êtres de valeur
On préfère survivre que céder à nos peurs.
Alors à qui me blesse ou bien s’en prend aux miens
Je lui dis soit tu cesses, soit on en vient aux mains.
Sache que dans ce cas nous serons tous perdants,
Choisis et réfléchis, mieux vaut le faire avant.
Envoyé de mon iPhone
En quoi peut-on juger ou opérer censure ?
Quand on sait qu’on ne sait qu’une partie des choses
N’est-il présomptueux qu’on choisisse ou propose ?
C’est déjà bien ardu de décider pour soi
De bien faire le tri, retenir ce qu’on croit.
Comment lors imposer quoi que ce soit à d’autres
Or respecter chacun, sans être un apôtre.
Cela n’empêche en rien de dire haut et fort
Tout ce à quoi l’on tient, à l’amour, à la joie
Afin de parvenir à étouffer la haine
Qui ne fait qu’ajouter à la liste des peines.
Quels sont les bons repères, les valeurs souveraines
Celles qui sonnent justes dans nos cœurs, sans problème
Que retenir enfin du discours de nos pères
Sinon que la violence est fille de la haine.
Nous sommes tous sujets à de forts coups de sang
Mais il faut distinguer quand il est indécent.
Ce n’est jamais l’amour, qui n’est, s’il est violent
C’est la fureur en nous qui appelle le sang.
Quelle est la bonne jauge, la correcte mesure
Quand l’amour, l’amitié ne sont dans nos natures
Que si nous cultivons sans faillir ces valeurs
Que nous les conservons présentes dans nos cœurs.
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respect et légitime défense.
Certes quelqu’un a dit si un jour on te frappe
Tends alors l’autre joue, dans l’amour tu te drapes,
Je n’ai pas quant à moi cette patience là
J’essaierai je l’avoue de mettre le holà.
Par réflexe et défense, pour répondre à l’offense
Sans entrer pour autant dans cette folle danse
Celle de l’escalade, celle du toujours plus
Jusqu’à ce qu’il y ait un vainqueur, un vaincu.
Je ferai si possible tout pour calmer le jeu
Ne point envenimer les choses pour nous deux
Si hélas j’ai affaire à un très belliqueux
S’il est sourd et aveugle, je me battrai au mieux.
Car quoique l’on en dise la vie nous tient à cœur
On ne veut la donner pour des questions d’honneur
Si ce n’est pour sauver des êtres de valeur
On préfère survivre que céder à nos peurs.
Alors à qui me blesse ou bien s’en prend aux miens
Je lui dis soit tu cesses, soit on en vient aux mains.
Sache que dans ce cas nous serons tous perdants,
Choisis et réfléchis, mieux vaut le faire avant.
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