Après la pluie....
Publié le 03 août 2025
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Quand la vie est facile tout nous semble normal
Lorsque le soleil brille n’est-ce pas idéal ?
Quand notre ciel est clair dépourvu de nuages
Nous n’avons de questions, nous n’avons de messages.
Quand surgissent un jour devant nous des obstacles
Nous craignons tant l’échec, porteur de nos débâcles
Que nous crions toujours à quelque injustice
Accusant dieu sait qui de nous mettre au supplice.
Et nous allons ainsi de tempêtes en naufrages
De belles éclaircies en délicieux passages,
Ballotés tous au gré des hasards sans présage
Appelant le beau temps toujours après l’orage.
Nous n’avons pas de malle où mettre ces trésors
Lorsque la vie présente tous ses meilleurs dehors
Car seul le présent compte dans ce que nous vivons
Et malgré nos mémoires cela ne le changeons.
Seul demeure l’espoir quand les choses se gâtent
Qu’elles ne durent pas, qu’on n’ait pas dans les pattes
Cette mouise soudaine qui parfois nous accable
Au point que de douter des choses agréables.
Le poète le dit profite de l’instant
S’il est fort agréable fait le durer longtemps
Si le malheur te frappe, fait alors le gros dos
En espérant qu’il coule sur toi comme de l’eau.
Lorsque le soleil brille n’est-ce pas idéal ?
Quand notre ciel est clair dépourvu de nuages
Nous n’avons de questions, nous n’avons de messages.
Quand surgissent un jour devant nous des obstacles
Nous craignons tant l’échec, porteur de nos débâcles
Que nous crions toujours à quelque injustice
Accusant dieu sait qui de nous mettre au supplice.
Et nous allons ainsi de tempêtes en naufrages
De belles éclaircies en délicieux passages,
Ballotés tous au gré des hasards sans présage
Appelant le beau temps toujours après l’orage.
Nous n’avons pas de malle où mettre ces trésors
Lorsque la vie présente tous ses meilleurs dehors
Car seul le présent compte dans ce que nous vivons
Et malgré nos mémoires cela ne le changeons.
Seul demeure l’espoir quand les choses se gâtent
Qu’elles ne durent pas, qu’on n’ait pas dans les pattes
Cette mouise soudaine qui parfois nous accable
Au point que de douter des choses agréables.
Le poète le dit profite de l’instant
S’il est fort agréable fait le durer longtemps
Si le malheur te frappe, fait alors le gros dos
En espérant qu’il coule sur toi comme de l’eau.

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