Au bout de lallée
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
Le monde à vue de nez, celui qui nous entoure
Est toujours étriqué, trop petite est la cour
Où l’on passe ses jours, enfermé dans ces murs
Qui nous coupent à coup sûr de toute autre aventure.
Trouver son équilibre, ne jamais négliger
L’endroit où l’on réside et les gens qu’on côtoie
Sans renoncer jamais à monter sur le toit
Pour y apercevoir un monde moins figé.
Et parfois s’en aller pour partir en voyage
Pour croiser des regards, de nouveaux paysages
Et parfois s’en aller seulement en rêvant
Oser imaginer des mondes plus cléments.
Même le laboureur courbé sur sa charrue
Lève le nez au ciel pour contempler les nues
Qui n’espère pas voir au delà de l’allée
Un endroit où parfois il ferait bon d’aller ?
Est toujours étriqué, trop petite est la cour
Où l’on passe ses jours, enfermé dans ces murs
Qui nous coupent à coup sûr de toute autre aventure.
Trouver son équilibre, ne jamais négliger
L’endroit où l’on réside et les gens qu’on côtoie
Sans renoncer jamais à monter sur le toit
Pour y apercevoir un monde moins figé.
Et parfois s’en aller pour partir en voyage
Pour croiser des regards, de nouveaux paysages
Et parfois s’en aller seulement en rêvant
Oser imaginer des mondes plus cléments.
Même le laboureur courbé sur sa charrue
Lève le nez au ciel pour contempler les nues
Qui n’espère pas voir au delà de l’allée
Un endroit où parfois il ferait bon d’aller ?

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.