Au dessus des nuages.
Publié le 03 août 2025
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Je suis allé souvent au dessus des nuages
Du haut de la montagne j’en voyais une mer
Ou depuis mon cockpit dans un avion léger
Même par mauvais temps quand je les survolais.
Savez-vous la nouvelle ils ne vont pas très haut
Quand bien même ils nous cachent ce qu’il y a plus haut.
Savez-vous le ciel bleu qui règne sans partage
Qui nous protège mieux que ne font les nuages ?
De cette immensité que le ciel bleu nous voile
Émaillé de millions de ces points de lumière
Qu’on appelle galaxies, novas, surtout étoiles
Où se perdent à coup sûr nos millions de prières.
Pourquoi donc cette envie de partir, de voyages
Qu’ont toujours eu les hommes tout au long des âges ?
Cet ennui de rester, ce fort besoin d’ailleurs,
Ce désir d’aller voir s’il n’y a de meilleur.
Moi je baisse les yeux sur ma terre natale
J’y vois tant de raisons de m’y trouver chez moi.
Quelle consternation, les humains, ces vandales
Loin de la protéger, la souillent et la rudoient.
Je ne cherche là-haut des raisons d’espérer
Le silence y règne de toute éternité
Je préfère, à mes pieds, m’employer à sauver
Ce qui est notre demeure, et à la respecter.
Du haut de la montagne j’en voyais une mer
Ou depuis mon cockpit dans un avion léger
Même par mauvais temps quand je les survolais.
Savez-vous la nouvelle ils ne vont pas très haut
Quand bien même ils nous cachent ce qu’il y a plus haut.
Savez-vous le ciel bleu qui règne sans partage
Qui nous protège mieux que ne font les nuages ?
De cette immensité que le ciel bleu nous voile
Émaillé de millions de ces points de lumière
Qu’on appelle galaxies, novas, surtout étoiles
Où se perdent à coup sûr nos millions de prières.
Pourquoi donc cette envie de partir, de voyages
Qu’ont toujours eu les hommes tout au long des âges ?
Cet ennui de rester, ce fort besoin d’ailleurs,
Ce désir d’aller voir s’il n’y a de meilleur.
Moi je baisse les yeux sur ma terre natale
J’y vois tant de raisons de m’y trouver chez moi.
Quelle consternation, les humains, ces vandales
Loin de la protéger, la souillent et la rudoient.
Je ne cherche là-haut des raisons d’espérer
Le silence y règne de toute éternité
Je préfère, à mes pieds, m’employer à sauver
Ce qui est notre demeure, et à la respecter.

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