Au diapason
Publié le 24 décembre 2025
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Combien de ces fardeaux que décrivent les mots
J’ai déposé au bord de mes chemins de vie ?
Combien j’ai eu d’espoir que d’alléger mes maux
En vous les partageant chaque jour à l’envi.
Las leur poids lui demeure sur les franges du cœur.
Jamais elles ne meurent les blessures de l’âme
Quelques instants de joie n’effacent les malheurs
De rire aux éclats, on n’en oublie ses larmes.
Combien faut-il de coups, combien faut-il de drames
Pour comprendre enfin que la vie est ainsi ?
Faite tout aussi bien de moments qu’on acclame
Que de flèches acérées qui nous mettent à merci.
Et accepter les uns, c’est accueillir les autres
Noir et blanc, rouge et or en sont bien les couleurs,
Quand même on la redoute, on connaît la douleur
Et tout autant la sienne, que celle des autres.
Lors quelles récompenses que sont joie et bonheur
Qu’apportent la beauté et la bonté du cœur !
Comment ne célébrer les sources de lumière
Qui chassent les ténèbres à force de prière ?
Sans cesse mes poèmes sont zébrés de ces feux
De ces larges traits sombres qui traversent nos jeux
De ces éclairs aussi de pur ravissement
Quand elle est sujette à l’éblouissement.
Mes mots au diapason de ces palpitements
Dansent là sur la page comme des garnements ,
C’est bientôt jours de fête, aussi je les retiens
Ceux qui voudraient gâcher ces moments pour les miens.
J’ai déposé au bord de mes chemins de vie ?
Combien j’ai eu d’espoir que d’alléger mes maux
En vous les partageant chaque jour à l’envi.
Las leur poids lui demeure sur les franges du cœur.
Jamais elles ne meurent les blessures de l’âme
Quelques instants de joie n’effacent les malheurs
De rire aux éclats, on n’en oublie ses larmes.
Combien faut-il de coups, combien faut-il de drames
Pour comprendre enfin que la vie est ainsi ?
Faite tout aussi bien de moments qu’on acclame
Que de flèches acérées qui nous mettent à merci.
Et accepter les uns, c’est accueillir les autres
Noir et blanc, rouge et or en sont bien les couleurs,
Quand même on la redoute, on connaît la douleur
Et tout autant la sienne, que celle des autres.
Lors quelles récompenses que sont joie et bonheur
Qu’apportent la beauté et la bonté du cœur !
Comment ne célébrer les sources de lumière
Qui chassent les ténèbres à force de prière ?
Sans cesse mes poèmes sont zébrés de ces feux
De ces larges traits sombres qui traversent nos jeux
De ces éclairs aussi de pur ravissement
Quand elle est sujette à l’éblouissement.
Mes mots au diapason de ces palpitements
Dansent là sur la page comme des garnements ,
C’est bientôt jours de fête, aussi je les retiens
Ceux qui voudraient gâcher ces moments pour les miens.
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