Au milieu des montagnes.
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
5 lecture
(0)
Du matin jusqu’au soir des règles à respecter
Des normes à connaître, des choses à ne pas faire
Où est la liberté tant elle est encadrée ?
Rester sur le chemin pour ne pas déborder.
Mais toutes ces contraintes on les doit à nous mêmes
Qui protestons toujours quand l’on a des problèmes.
Qui ne demande à l’autre de ne pas empiéter
Sur sa chasse gardée où sont ses intérêts ?
Plus nous sommes nombreux et plus grande est la gêne
Quel que soit le pays, quel que soit l’indigène.
Moins d’espace on dispose, plus le carcan s’impose
Et la question se pose, la liberté en pause ?
Montrez moi vos papiers et vos comptes bancaires
Donnez moi tous les gages pour qu’on fasse affaire.
Avez-vous le permis pour agir ou bien faire ?
Remplissez jusqu’au bout tous ces longs formulaires.
Je n’échappe bien sûr à toutes ces contraintes
Et il ne sert de rien que de dire mes plaintes.
Plutôt faire le choix de vivre en un endroit
Où se posera moins de savoir tous mes droits.
Au sein de mes montagnes, le long de leurs chemins
Je retrouve la joie de me sentir bien loin
De ces tracasseries qu’ont tant de citadins
Avec la liberté qui me tient par la main.
Des normes à connaître, des choses à ne pas faire
Où est la liberté tant elle est encadrée ?
Rester sur le chemin pour ne pas déborder.
Mais toutes ces contraintes on les doit à nous mêmes
Qui protestons toujours quand l’on a des problèmes.
Qui ne demande à l’autre de ne pas empiéter
Sur sa chasse gardée où sont ses intérêts ?
Plus nous sommes nombreux et plus grande est la gêne
Quel que soit le pays, quel que soit l’indigène.
Moins d’espace on dispose, plus le carcan s’impose
Et la question se pose, la liberté en pause ?
Montrez moi vos papiers et vos comptes bancaires
Donnez moi tous les gages pour qu’on fasse affaire.
Avez-vous le permis pour agir ou bien faire ?
Remplissez jusqu’au bout tous ces longs formulaires.
Je n’échappe bien sûr à toutes ces contraintes
Et il ne sert de rien que de dire mes plaintes.
Plutôt faire le choix de vivre en un endroit
Où se posera moins de savoir tous mes droits.
Au sein de mes montagnes, le long de leurs chemins
Je retrouve la joie de me sentir bien loin
De ces tracasseries qu’ont tant de citadins
Avec la liberté qui me tient par la main.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.