Aucun mot
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
5 lecture
(0)
Aucun mot de poète n’a fait plus qu’ébranler
Les murs que les pouvoirs ont partout érigés.
Et le plus fort d’entre eux qu’est le mot liberté
N’arrive à lui seul à tous les effacer.
Il lui faudrait à coup sûr du renfort
Pour faire basculer ces pouvoirs, et encore !
J’en appelle pour moi à celui dit amour
Pour paire en l’attelage qui fera ce labour.
La liberté présente de multiples visages
C’est celle du renard, de ses cruels ravages.
Et l’amour du prochain en fixe la limite
Puisque c’est à bien faire que toujours elle invite.
Pour faire de l’argent un simple serviteur
Et non ce dieu puissant qui ronge tous les cœurs
Veillons à le soumettre aux lois de ces valeurs
Liberté et amour seront ses vrais tuteurs.
L’argent fut de tous temps sous ce nom ou un autre
Des civilisations le poison et l’apôtre
Elles sont toutes mortes des inégalités
Qui ont tous les plus pauvres autant fragilisé.
Ou bien de ces ressources qui vinrent à manquer
À force que de croître pour toujours plus gagner.
Nous sommes à notre tour devant cette équation
Saurons nous la résoudre? Sinon, disparition !
Quand les mots des savants ne sont plus entendus
Quand le pouvoir aveugle le peuple et la rue
Que les mots des poètes n’ont plus pignon sur rue
Vous pouvez deviner quelle sera l’issue.
Les murs que les pouvoirs ont partout érigés.
Et le plus fort d’entre eux qu’est le mot liberté
N’arrive à lui seul à tous les effacer.
Il lui faudrait à coup sûr du renfort
Pour faire basculer ces pouvoirs, et encore !
J’en appelle pour moi à celui dit amour
Pour paire en l’attelage qui fera ce labour.
La liberté présente de multiples visages
C’est celle du renard, de ses cruels ravages.
Et l’amour du prochain en fixe la limite
Puisque c’est à bien faire que toujours elle invite.
Pour faire de l’argent un simple serviteur
Et non ce dieu puissant qui ronge tous les cœurs
Veillons à le soumettre aux lois de ces valeurs
Liberté et amour seront ses vrais tuteurs.
L’argent fut de tous temps sous ce nom ou un autre
Des civilisations le poison et l’apôtre
Elles sont toutes mortes des inégalités
Qui ont tous les plus pauvres autant fragilisé.
Ou bien de ces ressources qui vinrent à manquer
À force que de croître pour toujours plus gagner.
Nous sommes à notre tour devant cette équation
Saurons nous la résoudre? Sinon, disparition !
Quand les mots des savants ne sont plus entendus
Quand le pouvoir aveugle le peuple et la rue
Que les mots des poètes n’ont plus pignon sur rue
Vous pouvez deviner quelle sera l’issue.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.