Aucun secours.
Publié le 03 août 2025
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Aujourd’hui que le monde vient à nous sans effort
qu’on peut le découvrir sans trop changer de port
Qu’il suffit d’allumer un écran de son doigt
Pour partir voyager en mille et un endroits
Aujourd’hui qu’on comprend qu’il n’est plus d’aventure
Qu’il n’y a de terres vierges encore à explorer
Que dernier combat est sauver la nature
Certes cela est triste, mais est-ce à déplorer ?,
Aujourd’hui que l’on sait qu’il ne faut gaspiller
L’énergie bien trop rare pour ainsi s’agiter
Que l’on voit des pays qui s’en vont pour piller
Les dernières ressources qui vont bientôt manquer
Qu’existe-t-il encore pour exalter les gens
Qu’est-ce qui donne envie d’avoir même un enfant ?
Dans un temps où tout semble hélas foutre le camp
Où les défis à vaincre semblent beaucoup trop grands ?
Quel espoir reste-t-il quand on voit les puissants
Se disputer à mort quelques riches arpents ?
Que l’on voit que les peuples se sentent impuissants
Prisonniers du venin de l’argent, ce serpent.
Il reste des poètes pour chanter la détresse
Ou le de profundis comme on dit une messe,
Tout secoués de pleurs devant l’affreux désastre
Sachant qu’aucun secours ne nous viendra des astres.
qu’on peut le découvrir sans trop changer de port
Qu’il suffit d’allumer un écran de son doigt
Pour partir voyager en mille et un endroits
Aujourd’hui qu’on comprend qu’il n’est plus d’aventure
Qu’il n’y a de terres vierges encore à explorer
Que dernier combat est sauver la nature
Certes cela est triste, mais est-ce à déplorer ?,
Aujourd’hui que l’on sait qu’il ne faut gaspiller
L’énergie bien trop rare pour ainsi s’agiter
Que l’on voit des pays qui s’en vont pour piller
Les dernières ressources qui vont bientôt manquer
Qu’existe-t-il encore pour exalter les gens
Qu’est-ce qui donne envie d’avoir même un enfant ?
Dans un temps où tout semble hélas foutre le camp
Où les défis à vaincre semblent beaucoup trop grands ?
Quel espoir reste-t-il quand on voit les puissants
Se disputer à mort quelques riches arpents ?
Que l’on voit que les peuples se sentent impuissants
Prisonniers du venin de l’argent, ce serpent.
Il reste des poètes pour chanter la détresse
Ou le de profundis comme on dit une messe,
Tout secoués de pleurs devant l’affreux désastre
Sachant qu’aucun secours ne nous viendra des astres.

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