Aux Bouillouses.
Publié le 03 août 2025
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Si un jour vous passez par le lac des Bouillouses
Qui dans les Pyrénées une combe épouse
Arrêtez-vous un peu sur ses bords escarpés
Le temps de savourer quelques instants de paix.
Vous y serez bercés par le souffle du vent
Qui chante dans les branches des forêts très souvent
Ou par le clapotis de mille vaguelettes
Qui jouent sur les rochers partout à l’aveuglette.
Si vous levez les yeux et si c’est la saison
Vous verrez les névés sur les pentes à foison
Comme de beaux draps blancs couchés parmi les prés
Où dansent en rêvant des rayons égarés.
Devant vous sous le vent glisse un tapis liquide
Où scintillent les feux de lumières languides
Les berges érodées exhibent des rochers
Tapissés de lichens aux couleurs mordorées.
Si vous avez comme moi un beau jour cette chance
De goûter tout cela à force de patience
Et de le partager avec un être aimé
Vous saurez du bonheur qu’elle en est une clef.
Qui dans les Pyrénées une combe épouse
Arrêtez-vous un peu sur ses bords escarpés
Le temps de savourer quelques instants de paix.
Vous y serez bercés par le souffle du vent
Qui chante dans les branches des forêts très souvent
Ou par le clapotis de mille vaguelettes
Qui jouent sur les rochers partout à l’aveuglette.
Si vous levez les yeux et si c’est la saison
Vous verrez les névés sur les pentes à foison
Comme de beaux draps blancs couchés parmi les prés
Où dansent en rêvant des rayons égarés.
Devant vous sous le vent glisse un tapis liquide
Où scintillent les feux de lumières languides
Les berges érodées exhibent des rochers
Tapissés de lichens aux couleurs mordorées.
Si vous avez comme moi un beau jour cette chance
De goûter tout cela à force de patience
Et de le partager avec un être aimé
Vous saurez du bonheur qu’elle en est une clef.

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