Avec ou sans.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
4 lecture
(0)
Les tracas, les bobos que la vie nous inflige
Je puis les supporter même si ça m’afflige
Ils ne comptent pour rien
Tant que tu es là, que tu me tiens la main.
Les mille embarras où cette vie nous plonge
Je puis m’en dépêtrer, dès lors qu’à toi je songe
Ils ne pèsent grand chose
Dès lors que tu es là, et que ta main se pose.
Toutes les chausses trappes dans la vie où l’on tombe
Je puis bien en sortir fut-ce au milieu des bombes.
Elles ne me sont mortelles
Dès lors que tu es là, tu me donnes des ailes.
Mais si par grand malheur j’étais moi en balance
Que tu ailles ailleurs pour y tenter ta chance
J’en serai dévasté
Car si tu n’es plus là, la vie perd sa beauté.
Je puis les supporter même si ça m’afflige
Ils ne comptent pour rien
Tant que tu es là, que tu me tiens la main.
Les mille embarras où cette vie nous plonge
Je puis m’en dépêtrer, dès lors qu’à toi je songe
Ils ne pèsent grand chose
Dès lors que tu es là, et que ta main se pose.
Toutes les chausses trappes dans la vie où l’on tombe
Je puis bien en sortir fut-ce au milieu des bombes.
Elles ne me sont mortelles
Dès lors que tu es là, tu me donnes des ailes.
Mais si par grand malheur j’étais moi en balance
Que tu ailles ailleurs pour y tenter ta chance
J’en serai dévasté
Car si tu n’es plus là, la vie perd sa beauté.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.