Aveugle et sourd.
Publié le 03 août 2025
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Je voudrais être sourd mais aux seuls bruits que font
Les hommes quand en guerre ou en colère ils sont.
Je voudrais être aveugle mais à ces jeux auxquels
Ils se livrent hélas quand ils sont en querelles.
Mais jamais, non jamais je ne serai muet
Devant tout leurs actes méprisables ou odieux.
Sans pourtant me tourner vers je ne sais quel dieu
La musique d’amour est mon seul menuet.
Je voudrais être fort pour corriger ces troubles
Mais d’Hercule, hélas, je ne suis pas le double
Je voudrais être grand pour être lu de tous,
Quand je pense à Hugo, c’est mon ego qui tousse.
Quelle que soit ma voix aussi tenue soit-elle
Je la colorerai de mes tout meilleurs vers
Quelle que soit ma voie, quelles que soient mes ailes
J’agiterai ma plume pour alerter mes frères.
Je voudrais qu’un beau jour tous les hommes se lèvent
Sortent du cauchemar où ils vivent et crèvent
Je voudrais qu’un matin ils vivent enfin leurs rêves
Et n’aient plus que l’amour qui leur vienne aux lèvres.
Je sais bien que tout ça reste mon illusion
Mais j’aime je le dis nourrir de ces visions
Celles qui donnent envie de n’être aveugle ou sourd
Dans un monde où l’on vit sans peur et dans l’amour.
Les hommes quand en guerre ou en colère ils sont.
Je voudrais être aveugle mais à ces jeux auxquels
Ils se livrent hélas quand ils sont en querelles.
Mais jamais, non jamais je ne serai muet
Devant tout leurs actes méprisables ou odieux.
Sans pourtant me tourner vers je ne sais quel dieu
La musique d’amour est mon seul menuet.
Je voudrais être fort pour corriger ces troubles
Mais d’Hercule, hélas, je ne suis pas le double
Je voudrais être grand pour être lu de tous,
Quand je pense à Hugo, c’est mon ego qui tousse.
Quelle que soit ma voix aussi tenue soit-elle
Je la colorerai de mes tout meilleurs vers
Quelle que soit ma voie, quelles que soient mes ailes
J’agiterai ma plume pour alerter mes frères.
Je voudrais qu’un beau jour tous les hommes se lèvent
Sortent du cauchemar où ils vivent et crèvent
Je voudrais qu’un matin ils vivent enfin leurs rêves
Et n’aient plus que l’amour qui leur vienne aux lèvres.
Je sais bien que tout ça reste mon illusion
Mais j’aime je le dis nourrir de ces visions
Celles qui donnent envie de n’être aveugle ou sourd
Dans un monde où l’on vit sans peur et dans l’amour.

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