Ballade à Comes.
Publié le 03 août 2025
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C’est bientôt le printemps, où du moins on l’espère
C’est pourquoi ce matin nous sommes allés marcher
Un peu plus bas en plaine, nous sommes allés chercher,
Des sentes un peu plus sèches que celles de BOLQUÈRE.
Nous partîmes d’Eus, village remarquable
Où se dresse une église de taille cathédrale
Aux rues si empierrées qui semblent provençales
Et forment en son cœur un merveilleux dédale.
Par des chemins anciens, bordés de murs de pierres
Et de taillis épais de beaux genévriers
Parsemés de leurs fruits là tombés par milliers
Nous allâmes vers Comes et son église fière,
Partout de grands rochers aux formes un peu étranges
Paraissent des sculptures dont certaines dérangent
S’il en est qui ressemblent, à de grandes statues
L’une se dresse fièrement, en forme de phallus.
Il fallut bien des haltes à nos pieds fatigables
Pour contempler aussi ces sites admirables
Face à un Canigou, couronné de nuages
Nous goûtions la beauté de tous ces paysages.
Arrivés au hameau, où paissent des moutons
À des chiens efflanqués, nous jetons des croûtons
Sous la pluie qui menace, nous pouvons déjeuner
Mal abrités d’un vent qui se met à souffler.
Alors que l’on repart, soudain le temps s’arrange
Serions-nous protégés par la bonté des anges ?
Le retour se fera un peu cahin-caha
Lorsqu’on parle beaucoup, nous on ne marche pas.
Le reste ne mérite d’être plus raconté
Un retour ordinaire, qui ne va pas compter
Mais toutes ces photos, que j’ai collectionnées
J’en joins bien quelques unes, pour mieux les partager.
C’est pourquoi ce matin nous sommes allés marcher
Un peu plus bas en plaine, nous sommes allés chercher,
Des sentes un peu plus sèches que celles de BOLQUÈRE.
Nous partîmes d’Eus, village remarquable
Où se dresse une église de taille cathédrale
Aux rues si empierrées qui semblent provençales
Et forment en son cœur un merveilleux dédale.
Par des chemins anciens, bordés de murs de pierres
Et de taillis épais de beaux genévriers
Parsemés de leurs fruits là tombés par milliers
Nous allâmes vers Comes et son église fière,
Partout de grands rochers aux formes un peu étranges
Paraissent des sculptures dont certaines dérangent
S’il en est qui ressemblent, à de grandes statues
L’une se dresse fièrement, en forme de phallus.
Il fallut bien des haltes à nos pieds fatigables
Pour contempler aussi ces sites admirables
Face à un Canigou, couronné de nuages
Nous goûtions la beauté de tous ces paysages.
Arrivés au hameau, où paissent des moutons
À des chiens efflanqués, nous jetons des croûtons
Sous la pluie qui menace, nous pouvons déjeuner
Mal abrités d’un vent qui se met à souffler.
Alors que l’on repart, soudain le temps s’arrange
Serions-nous protégés par la bonté des anges ?
Le retour se fera un peu cahin-caha
Lorsqu’on parle beaucoup, nous on ne marche pas.
Le reste ne mérite d’être plus raconté
Un retour ordinaire, qui ne va pas compter
Mais toutes ces photos, que j’ai collectionnées
J’en joins bien quelques unes, pour mieux les partager.

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