Bienvenue à Charles
Publié le 03 août 2025
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Mon très cher Charles B., combien vos mots me troublent
Vous m’avez oublié, parmi tous les maboules
Dont semble-t-il les mots vous ont tant remués
Pas au point toutefois, de vous rendre muet.
Je sens un peu pointer au cœur de la harangue
Comme une jalousie, qui vous ronge et vous hante
Vous n’êtes réputé, malgré votre talent
Pour être un joyeux drille, à l’humour éclatant !
Qu’il me soit donc permis, lors de vous suggérer
De faire un petit tour, au sein de nos projets
Venez vous essayez, à vous y amuser
Vous en constaterez, bienfaits pour la santé.
À voir votre bobine, pour ma part je devine
Que vous n’êtes aussi triste que l’on vous imagine
Sachez que prendre un bain, de nos vers ne déprime
Vous serez accueilli par nos hourras en prime.
Combien j’aime à penser dans mon imaginaire
La fête que nous ferions à Charles Beaudelaire
S’il venait consentir à mêler ses crayons
À la modeste prose, que nous zinzins faisons.
Vous m’avez oublié, parmi tous les maboules
Dont semble-t-il les mots vous ont tant remués
Pas au point toutefois, de vous rendre muet.
Je sens un peu pointer au cœur de la harangue
Comme une jalousie, qui vous ronge et vous hante
Vous n’êtes réputé, malgré votre talent
Pour être un joyeux drille, à l’humour éclatant !
Qu’il me soit donc permis, lors de vous suggérer
De faire un petit tour, au sein de nos projets
Venez vous essayez, à vous y amuser
Vous en constaterez, bienfaits pour la santé.
À voir votre bobine, pour ma part je devine
Que vous n’êtes aussi triste que l’on vous imagine
Sachez que prendre un bain, de nos vers ne déprime
Vous serez accueilli par nos hourras en prime.
Combien j’aime à penser dans mon imaginaire
La fête que nous ferions à Charles Beaudelaire
S’il venait consentir à mêler ses crayons
À la modeste prose, que nous zinzins faisons.

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