Bienvenue chez moi.
Publié le 03 août 2025
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Si tu t’en viens un jour pour frapper à ma porte
Qu’importe alors ami si rien tu n’apportes.
Ta venue est pour moi une bénédiction
Tu es toujours attendu au sein de ma maison.
Nous pourrons évoquer nos souvenirs d’hier
Lorsque nous partagions le gîte et le couvert.
Nous pourrions bien aussi nourrir d’autres projets
Ou goûter cette joie que de nous retrouver.
Qu’attends-tu mon ami pour diriger tes pas
Jusques à mon logis, tu y es comme chez toi.
Ne sens-tu à quel point tu as pu me manquer
J’ai pour toi, réservé, un superbe banquet.
Mais où sont-ils passés tous ces amis d’alors ?
Tous n’ont pas disparu, tous non plus ne sont morts.
Ils se sont dispersés dans le temps et l’espace
Cela devient trop rare quand l’un d’eux ici passe.
Je ne suis pas nomade, je n’aime trop bouger
J’écris quelques ballades au chaud de mon foyer
J’aime être le môle où l’on vient s’amarrer
Mais il n’y a de pôle où vivre l’amitié.
Qu’importe alors ami si rien tu n’apportes.
Ta venue est pour moi une bénédiction
Tu es toujours attendu au sein de ma maison.
Nous pourrons évoquer nos souvenirs d’hier
Lorsque nous partagions le gîte et le couvert.
Nous pourrions bien aussi nourrir d’autres projets
Ou goûter cette joie que de nous retrouver.
Qu’attends-tu mon ami pour diriger tes pas
Jusques à mon logis, tu y es comme chez toi.
Ne sens-tu à quel point tu as pu me manquer
J’ai pour toi, réservé, un superbe banquet.
Mais où sont-ils passés tous ces amis d’alors ?
Tous n’ont pas disparu, tous non plus ne sont morts.
Ils se sont dispersés dans le temps et l’espace
Cela devient trop rare quand l’un d’eux ici passe.
Je ne suis pas nomade, je n’aime trop bouger
J’écris quelques ballades au chaud de mon foyer
J’aime être le môle où l’on vient s’amarrer
Mais il n’y a de pôle où vivre l’amitié.

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