Brasier.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
5 lecture
(0)
Songes-y
Songes-y, ressens tu de l’effroi
Devant tout ce que crie la forêt qui rougeoie
Jadis tant de grands arbres couronnés de futaies
À présent pauvres mats de voiles dépouillés!
Sous le ciel Impassible
Une menace gronde
Que le miroir des eaux
N’empêche une seconde
Comme si tout ce drame était inéluctable
Et qu’un trop sourd destin en avait mis la table.
Oh beauté tu profites parfois même du pire
On dit que seul le diable arrive à en rire
Tandis que disparaissent au cœur d’un grand brasier
Mille vies qui grouillaient, sans pitié dévorées...
Songes-y, ressens tu de l’effroi
Devant tout ce que crie la forêt qui rougeoie
Jadis tant de grands arbres couronnés de futaies
À présent pauvres mats de voiles dépouillés!
Sous le ciel Impassible
Une menace gronde
Que le miroir des eaux
N’empêche une seconde
Comme si tout ce drame était inéluctable
Et qu’un trop sourd destin en avait mis la table.
Oh beauté tu profites parfois même du pire
On dit que seul le diable arrive à en rire
Tandis que disparaissent au cœur d’un grand brasier
Mille vies qui grouillaient, sans pitié dévorées...

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.