Cassés
Publié le 03 août 2025
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Est-ce que tu m'entends tu sais parfois j'en doute
Tout ce que je te dis, tu l'as perdu en route
Est-ce que tu me vois, j'en demeure sceptique
Je passe près de toi, sans même que tu tiques
Est-ce que je compte un peu, un peu plus que du beurre
Si je me le demande c'est que là tout à l'heure
Tu n'as pas écouté ou voulu bien l'entendre
Que je vais m'en aller, tu n'as semblé comprendre.
Est-ce que tu m'aimes encore, comment le pourrais-tu
Puisque même à tes yeux je ne compte déjà plus
Alors je te délivres si je suis devenu
Un homme qu'on côtoie, mais qui n'existe plus.
Avant que de partir je veux que tu le saches
Il n'y a pas de raison pour que ça je le cache
Je t'aime plus que tout et je t'aime à ce point
Que je m'en vais partir me cacher dans un coin.
J'ai bien tout essayé pour garder ton amour
Il s'est effiloché hélas jour après jour
Je ne suis plus pour toi celui qui t'emportait
Celui qui t'amusais, avec qui tu riais
Tu t'es isolée, murée dans ton silence
Tu es comme éteinte, plongée dans ta souffrance
Enfermée dans ta peine, tu as perdu confiance
Et le monde extérieur n'a plus de consistance.
Nous sommes devenus comme des étrangers
Non je ne t'en veux pas, de n'avoir surmonté
L'épreuve que la vie cruelle a infligée
Brisant les liens tissés entre nos cœurs blessés.
Tout ce que je te dis, tu l'as perdu en route
Est-ce que tu me vois, j'en demeure sceptique
Je passe près de toi, sans même que tu tiques
Est-ce que je compte un peu, un peu plus que du beurre
Si je me le demande c'est que là tout à l'heure
Tu n'as pas écouté ou voulu bien l'entendre
Que je vais m'en aller, tu n'as semblé comprendre.
Est-ce que tu m'aimes encore, comment le pourrais-tu
Puisque même à tes yeux je ne compte déjà plus
Alors je te délivres si je suis devenu
Un homme qu'on côtoie, mais qui n'existe plus.
Avant que de partir je veux que tu le saches
Il n'y a pas de raison pour que ça je le cache
Je t'aime plus que tout et je t'aime à ce point
Que je m'en vais partir me cacher dans un coin.
J'ai bien tout essayé pour garder ton amour
Il s'est effiloché hélas jour après jour
Je ne suis plus pour toi celui qui t'emportait
Celui qui t'amusais, avec qui tu riais
Tu t'es isolée, murée dans ton silence
Tu es comme éteinte, plongée dans ta souffrance
Enfermée dans ta peine, tu as perdu confiance
Et le monde extérieur n'a plus de consistance.
Nous sommes devenus comme des étrangers
Non je ne t'en veux pas, de n'avoir surmonté
L'épreuve que la vie cruelle a infligée
Brisant les liens tissés entre nos cœurs blessés.

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