Ce ne sont lettres mortes.

Publié le 03 août 2025 2 minutes de lecture 4 lecture
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Aujourd’hui je t’écris parce que tu me manques
Nos vers entrelacés qui s’accordaient si bien
Je ne sais à présent si toi tu t’en souviens
J’aimais nos jeux à deux comme des saltimbanques.

Comment pourrais-tu croire qu'il en soit autrement ?Quand tout ce laps de temps altère mes pensées,Toi aussi tu me manques, reviennent ces momentsOù nos plumes dansaient au gré de nos idées.
Comment pourrais-tu croire qu'il en soit autrement ?
Quand tout ce laps de temps altère mes pensées,
Toi aussi tu me manques, reviennent ces moments
Où nos plumes dansaient au gré de nos idées.

Je te vois disposée à reprendre le cours
De nos écrits croisés tissés au fil des jours
Retrouvons ce plaisir que d’unir nos deux muses
Et jouons à nouveau, ce qui tant nous amuse.

Et vois-tu aujourd'hui le soleil est de mise,Ma Muse se réveille d'un passé endormi,Le ciel est enjoué. L'hiver qui agonise,Va faire place au printemps, plein d'espoir et d'envies.
Et vois-tu aujourd'hui le soleil est de mise,
Ma Muse se réveille d'un passé endormi,
Le ciel est enjoué. L'hiver qui agonise,
Va faire place au printemps, plein d'espoir et d'envies.

Réveillons sans tarder nos plumes engourdies
Par les frimas d’hiver, à présent qu’elles chantent !
Pour célébrer la vie qui est bien la plus forte
Nos poèmes d’amour ne seront lettres mortes.
Pierre Jean Boutet - Logo
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