Ce quon aime à entendre
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
4 lecture
(0)
C’est souvent qu’on aime à entendre
Ce qui pour nous est bon à prendre
On sait pourtant à quoi s’attendre
Dans ce monde qui est tout sauf tendre.
Ainsi le riche, le puissant
Devra payer un jour son rang
Il n’est pas juste qu’il ait tout
La roue qui tourne, coupe son cou.
Pourtant on voit tout le contraire
Depuis que l’homme est sur terre
On ne connaît de volontaire
Pour demeurer le cul par terre.
Des riches, de plus en plus gros
Des pauvres, il y en a bien trop
Aux riches, ils ne tournent le dos
Espérant être un jour du lot.
Ainsi va de nos jours le monde
Les gros dévorent les petits
Personne pour croire une seconde
Qu’il n’en sera toujours ainsi.
Les gros ceux qui sont tout en haut
Ne songent plus même aux petits
Les plus petits n’ont d’appétit
Que pour survivre dans le troupeau.
De temps un temps, belle illusion
Qu’on peut changer, cette opinion
Un gros décroche, tombe en bas
Un petit monte et prends son pas.
Tous veulent croire à leur chance
Tout le possible, dans la balance
Ainsi les gens, vont en confiance
Ça entretient leur innocence.
Qui montrera, le match truqué
Que le combat est inégal
Que les gros ne peuvent chuter
Que tout cela est immoral.
C’est souvent qu’on aime à entendreCe qui pour nous, est bon à prendre On sait pourtant, à quoi s’attendreDans ce monde qui est tout sauf tendre.
C’est souvent qu’on aime à entendre
Ce qui pour nous, est bon à prendre
On sait pourtant, à quoi s’attendre
Dans ce monde qui est tout sauf tendre.
Ce qui pour nous est bon à prendre
On sait pourtant à quoi s’attendre
Dans ce monde qui est tout sauf tendre.
Ainsi le riche, le puissant
Devra payer un jour son rang
Il n’est pas juste qu’il ait tout
La roue qui tourne, coupe son cou.
Pourtant on voit tout le contraire
Depuis que l’homme est sur terre
On ne connaît de volontaire
Pour demeurer le cul par terre.
Des riches, de plus en plus gros
Des pauvres, il y en a bien trop
Aux riches, ils ne tournent le dos
Espérant être un jour du lot.
Ainsi va de nos jours le monde
Les gros dévorent les petits
Personne pour croire une seconde
Qu’il n’en sera toujours ainsi.
Les gros ceux qui sont tout en haut
Ne songent plus même aux petits
Les plus petits n’ont d’appétit
Que pour survivre dans le troupeau.
De temps un temps, belle illusion
Qu’on peut changer, cette opinion
Un gros décroche, tombe en bas
Un petit monte et prends son pas.
Tous veulent croire à leur chance
Tout le possible, dans la balance
Ainsi les gens, vont en confiance
Ça entretient leur innocence.
Qui montrera, le match truqué
Que le combat est inégal
Que les gros ne peuvent chuter
Que tout cela est immoral.
C’est souvent qu’on aime à entendreCe qui pour nous, est bon à prendre On sait pourtant, à quoi s’attendreDans ce monde qui est tout sauf tendre.
C’est souvent qu’on aime à entendre
Ce qui pour nous, est bon à prendre
On sait pourtant, à quoi s’attendre
Dans ce monde qui est tout sauf tendre.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.