Cessez-le-feu !
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
4 lecture
(0)
L’histoire est si riche qu’on n’en retient grand chose
Les empires, les rois, ni les grands changements
On se souvient bien moins de ces événements
Que de la trace laissée par le parfum des roses.
De notre propre histoire restent les souvenirs
Heureux ou malheureux qu’on a su retenir.
Pour ça combien d’oublis de nos erreurs passées ?
Et combien de faux pas qui ne nous ont blessés ?
Des vies en pointillés tiennent lieu de mémoire
Que ce soit la petite ou bien la grande histoire.
Faut-il toujours savoir quelle est la vérité
Ou garder ce qui peut permettre d’avancer ?
Pourquoi avoir la honte des erreurs du passé
Commises par des gens à présent effacés ?
Pourquoi ne reconnaître qu’ils se sont bien trompés
Et regarder en face les dégâts qu’ils ont faits ?
Ne voit-on que les guerres sont toutes en trompe l’œil
Au delà de l’atroce et au delà des deuils ?
Que violence, pillages et toutes destructions
Appellent c’est fatal bien des répétitions ?
Les peuples sont nourris de désirs de revanche
Et bien longtemps après des conflits ça déclenche.
L’histoire est sans fin quand la seule mémoire
Qui reste du passé est blessure d’espoir.
Il serait temps pourtant d’un grand cessez-le-feu
Pour que l’humanité se concentre sur ce
Qui semble à présent pour elle important
Survivre avant tout à ce qui est devant !
Les empires, les rois, ni les grands changements
On se souvient bien moins de ces événements
Que de la trace laissée par le parfum des roses.
De notre propre histoire restent les souvenirs
Heureux ou malheureux qu’on a su retenir.
Pour ça combien d’oublis de nos erreurs passées ?
Et combien de faux pas qui ne nous ont blessés ?
Des vies en pointillés tiennent lieu de mémoire
Que ce soit la petite ou bien la grande histoire.
Faut-il toujours savoir quelle est la vérité
Ou garder ce qui peut permettre d’avancer ?
Pourquoi avoir la honte des erreurs du passé
Commises par des gens à présent effacés ?
Pourquoi ne reconnaître qu’ils se sont bien trompés
Et regarder en face les dégâts qu’ils ont faits ?
Ne voit-on que les guerres sont toutes en trompe l’œil
Au delà de l’atroce et au delà des deuils ?
Que violence, pillages et toutes destructions
Appellent c’est fatal bien des répétitions ?
Les peuples sont nourris de désirs de revanche
Et bien longtemps après des conflits ça déclenche.
L’histoire est sans fin quand la seule mémoire
Qui reste du passé est blessure d’espoir.
Il serait temps pourtant d’un grand cessez-le-feu
Pour que l’humanité se concentre sur ce
Qui semble à présent pour elle important
Survivre avant tout à ce qui est devant !

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.