Cétait un paradis.
Publié le 03 août 2025
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De tous les points du globe parviennent des images
D’éléments déchaînés qui font bien des ravages
De foules stupéfaites, surprises et désolées
Devant soudain leur monde qui vient de s’écrouler.
A peine l’incendie vient-il d’être éteint
Que c’est l’inondation qui brusquement survient
A peine un tremblement a-t-il tout mis par terre
Que vient tout y figer le grand froid de l’hiver.
Qu’avons-nous pu faire pour mériter ces maux ?
Pour dire cet enfer, je cherche un peu les mots.
Aucun individu n’a pu vouloir cela
Seule la multitude pour l’expliquer est là.
Mais quelle injustice dans tout ce qui s’abat
Ce sont les plus précaires qui en sont les victimes
Quand les plus responsables se disent : c’est là-bas…
Et poursuivent tranquilles leurs invisibles crimes.
Pourtant chez eux aussi ça craque de partout
Sécheresses et orages font des dégâts très lourds
Les maisons se fissurent, et les cultures crèvent
Les catastrophes tuent de plus en plus leurs rêves.
Bientôt il n’y aura plus beaucoup de refuges
Où vivre dans la paix même pour des transfuges
Les endroits préservés seront tant envahis
Que tous ceux qui y vivent se sentiront trahis.
C’était un paradis qu’on appelait la terre
Il va changer de nom pour celui de l’enfer
Les hommes sont maudits pour n’avoir su en faire
Ce havre dans l’azur où vivre tous en frères.
D’éléments déchaînés qui font bien des ravages
De foules stupéfaites, surprises et désolées
Devant soudain leur monde qui vient de s’écrouler.
A peine l’incendie vient-il d’être éteint
Que c’est l’inondation qui brusquement survient
A peine un tremblement a-t-il tout mis par terre
Que vient tout y figer le grand froid de l’hiver.
Qu’avons-nous pu faire pour mériter ces maux ?
Pour dire cet enfer, je cherche un peu les mots.
Aucun individu n’a pu vouloir cela
Seule la multitude pour l’expliquer est là.
Mais quelle injustice dans tout ce qui s’abat
Ce sont les plus précaires qui en sont les victimes
Quand les plus responsables se disent : c’est là-bas…
Et poursuivent tranquilles leurs invisibles crimes.
Pourtant chez eux aussi ça craque de partout
Sécheresses et orages font des dégâts très lourds
Les maisons se fissurent, et les cultures crèvent
Les catastrophes tuent de plus en plus leurs rêves.
Bientôt il n’y aura plus beaucoup de refuges
Où vivre dans la paix même pour des transfuges
Les endroits préservés seront tant envahis
Que tous ceux qui y vivent se sentiront trahis.
C’était un paradis qu’on appelait la terre
Il va changer de nom pour celui de l’enfer
Les hommes sont maudits pour n’avoir su en faire
Ce havre dans l’azur où vivre tous en frères.

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