Chacune a son langage.
Publié le 03 août 2025
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La nature aujourd’hui me parle de printemps
Comme elle le fait déjà depuis quelque temps.
Nouvelle atmosphère dont s’imprègne les choses
Qui s’emploie à chasser tout autour le morose.
C’est l’herbe qui verdit à nouveau dans les champs
Et les premiers bourgeons qui jaillissent du p pdes branches
C’est l’eau dans les ruisseaux qui renforce son chant
Et quand je me surprends à retrousser mes manches.
Ou cet élan en moi qui réveille mon corps
Comme s’il désirait se mettre en accord
Avec tout ce qui pousse, jaillit ou bien frémit
À la chaleur qui monte et à l’eau qui bénit.
Ainsi chaque saison possède son langage
Elle n’a besoin de mots, juste dans ses bagages
Ces signes univoques qu’elle vient s’installer
Pour jeter dans l’oubli ce qui s’en est allé.
Le printemps est magique, il faut en convenir
Où se gonfle un espoir que rien ne peut ternir
En dépit des nuages qui plombent l’avenir
On pourrait presque croire que l’on va rajeunir.
Comme elle le fait déjà depuis quelque temps.
Nouvelle atmosphère dont s’imprègne les choses
Qui s’emploie à chasser tout autour le morose.
C’est l’herbe qui verdit à nouveau dans les champs
Et les premiers bourgeons qui jaillissent du p pdes branches
C’est l’eau dans les ruisseaux qui renforce son chant
Et quand je me surprends à retrousser mes manches.
Ou cet élan en moi qui réveille mon corps
Comme s’il désirait se mettre en accord
Avec tout ce qui pousse, jaillit ou bien frémit
À la chaleur qui monte et à l’eau qui bénit.
Ainsi chaque saison possède son langage
Elle n’a besoin de mots, juste dans ses bagages
Ces signes univoques qu’elle vient s’installer
Pour jeter dans l’oubli ce qui s’en est allé.
Le printemps est magique, il faut en convenir
Où se gonfle un espoir que rien ne peut ternir
En dépit des nuages qui plombent l’avenir
On pourrait presque croire que l’on va rajeunir.

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