Comme unique repère.
Publié le 03 août 2025
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Les mêmes sentiments depuis l’aube des temps
On s’aime, on se désire, on se hait, on se ment.
Toujours et même en pire, les mêmes errements
On se bat, on se vole, on se blesse, on se vend.
N’y-a-t-il donc de fin à cette mascarade
Quand est-ce que l’humain cessera sa parade ?
Quels que soient les progrès qu’il brandit sur l’estrade
Il en revient toujours aux humeurs rétrogrades.
Tout autour de lui change, qu’il dévore, qu’il mange
Jamais ses prédations en rien ne le dérangent
Quand ce sont ses pulsions qui si fort le démangent
Ce n’est que rarement qu’à raison il se range.
Il hisse haut et fort ses valeurs sur pavois
Mais bien vite ensuite combien il se fourvoie.
Sa morale est sourde quand il entend la voix
De ses mauvais penchants qui au pire l’envoient.
Celle qui le vit naître, qui en tout est sa mère
Celle là je le crains à présent désespère
Qu’il fasse un jour la paix entre lui et la terre
Quand il n’a que de croître comme unique repère.
On s’aime, on se désire, on se hait, on se ment.
Toujours et même en pire, les mêmes errements
On se bat, on se vole, on se blesse, on se vend.
N’y-a-t-il donc de fin à cette mascarade
Quand est-ce que l’humain cessera sa parade ?
Quels que soient les progrès qu’il brandit sur l’estrade
Il en revient toujours aux humeurs rétrogrades.
Tout autour de lui change, qu’il dévore, qu’il mange
Jamais ses prédations en rien ne le dérangent
Quand ce sont ses pulsions qui si fort le démangent
Ce n’est que rarement qu’à raison il se range.
Il hisse haut et fort ses valeurs sur pavois
Mais bien vite ensuite combien il se fourvoie.
Sa morale est sourde quand il entend la voix
De ses mauvais penchants qui au pire l’envoient.
Celle qui le vit naître, qui en tout est sa mère
Celle là je le crains à présent désespère
Qu’il fasse un jour la paix entre lui et la terre
Quand il n’a que de croître comme unique repère.

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