Dans lair.
Publié le 03 août 2025
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Dans l’air en ce temps là flottait une insouciance
Non celle du présent où étaient des souffrances
Celle de l’avenir tant on avait confiance
Que tout irait bien mieux en beau pays de France.
S’y enseignait si bien cette idée de progrès
Au regard d’un passé si riches de dangers
Famines, épidémies avaient été vaincues
Demain serait radieux, on était convaincus.
L’humanité comptait à peine trois milliards
La terre à les nourrir ne se montrait avare
On accédait déjà à des activités
Qu’on appelait loisirs plutôt que farniente.
Le temps de ma jeunesse je dévorais des livres
Connaissances nouvelles dont alors je m’enivre
Je rêvais d’un futur où j’accompagnerai
Quand ce serait mon tour ce monde de projets.
Que sont ils devenus ces temps de tous possibles
Où se sont donc perdues ces visions invincibles ?
Les choses ont basculé vers des monceaux de doutes
Tant d’obstacles ont surgi si vite sur nos routes.
On semble découvrir que la terre est une
Que c’est plus important que rêver à la lune
On comprend seulement qu’on devra partager
Et si l’on veut survivre, tout mieux utiliser.
Sur nous règne à présent comme un crépuscule
Au point qu’on se demande s’il faut que l’on recule
A quoi on en conclut de tous nos beaux calculs
Que tout ce qu’on gaspille est acte ridicule.
Combien ceux d’entre nous qui perdent l’assurance
Que nous saurons ensemble restaurer la confiance
Que ce soit dans le monde où en pays de France.
Non celle du présent où étaient des souffrances
Celle de l’avenir tant on avait confiance
Que tout irait bien mieux en beau pays de France.
S’y enseignait si bien cette idée de progrès
Au regard d’un passé si riches de dangers
Famines, épidémies avaient été vaincues
Demain serait radieux, on était convaincus.
L’humanité comptait à peine trois milliards
La terre à les nourrir ne se montrait avare
On accédait déjà à des activités
Qu’on appelait loisirs plutôt que farniente.
Le temps de ma jeunesse je dévorais des livres
Connaissances nouvelles dont alors je m’enivre
Je rêvais d’un futur où j’accompagnerai
Quand ce serait mon tour ce monde de projets.
Que sont ils devenus ces temps de tous possibles
Où se sont donc perdues ces visions invincibles ?
Les choses ont basculé vers des monceaux de doutes
Tant d’obstacles ont surgi si vite sur nos routes.
On semble découvrir que la terre est une
Que c’est plus important que rêver à la lune
On comprend seulement qu’on devra partager
Et si l’on veut survivre, tout mieux utiliser.
Sur nous règne à présent comme un crépuscule
Au point qu’on se demande s’il faut que l’on recule
A quoi on en conclut de tous nos beaux calculs
Que tout ce qu’on gaspille est acte ridicule.
Combien ceux d’entre nous qui perdent l’assurance
Que nous saurons ensemble restaurer la confiance
Que ce soit dans le monde où en pays de France.

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