Dans larène.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
N’avez-vous l’impression d’avoir changé de monde
Vous qui êtes nés il y a longtemps déjà ?
Même si la planète est toujours aussi ronde
Les choses n’y ont plus, la saveur d’autrefois.
La vie était plus rude, le confort relatif
Les mœurs y étaient prudes, le bonheur subjectif.
Y étaient-on plus libres, était-ce une impression ?
On jouait bien des codes, on était polissons.
Ou est-ce notre enfance, que tous nous regrettons
Que de trop beaux habits, alors nous habillons ?
Ou est-ce l’insouciance, dont nous jouissions enfants
Dans cette providence, qu’offrait lors nos parents ?
N’est-ce qu’en ce temps là, c’est l’espoir qui primait ?
Tant les gens étaient sûrs de voir s’améliorer,
Tout autant leur confort, que voir la liberté
Triompher dans le monde, et les guerres cesser.
N’avez-vous l’impression, de porter comme un poids
Ces occasions manquées d’honorer ces promesses ?
Notre génération a d’abord, n’est-ce pas,
Profité avant tout du monde et ses largesses.
Elle a abandonné aux cupides les rênes
Pour ne se soucier que de jouir sans la peine.
Elle est devenue un jouet dans l’arène
Pour la joie des puissants qui eux seuls nous gouvernent.
Vous qui êtes nés il y a longtemps déjà ?
Même si la planète est toujours aussi ronde
Les choses n’y ont plus, la saveur d’autrefois.
La vie était plus rude, le confort relatif
Les mœurs y étaient prudes, le bonheur subjectif.
Y étaient-on plus libres, était-ce une impression ?
On jouait bien des codes, on était polissons.
Ou est-ce notre enfance, que tous nous regrettons
Que de trop beaux habits, alors nous habillons ?
Ou est-ce l’insouciance, dont nous jouissions enfants
Dans cette providence, qu’offrait lors nos parents ?
N’est-ce qu’en ce temps là, c’est l’espoir qui primait ?
Tant les gens étaient sûrs de voir s’améliorer,
Tout autant leur confort, que voir la liberté
Triompher dans le monde, et les guerres cesser.
N’avez-vous l’impression, de porter comme un poids
Ces occasions manquées d’honorer ces promesses ?
Notre génération a d’abord, n’est-ce pas,
Profité avant tout du monde et ses largesses.
Elle a abandonné aux cupides les rênes
Pour ne se soucier que de jouir sans la peine.
Elle est devenue un jouet dans l’arène
Pour la joie des puissants qui eux seuls nous gouvernent.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.