Dans les villes sans âme.
Publié le 03 août 2025
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Longtemps j’ai dû œuvrer dans des villes sans âme
Où les autos passaient indifférentes aux drames
Où tant d’hommes tiraient sur leur vie à la rame
Où l’air était chargé de particules infâmes.
Dans leurs rues j’ai erré en recherche du ciel
De la chaleur humaine qui pour moi est du miel
Mais je m’y suis noyé dans trop d’artificiel
Et j’avais dans la bouche comme un goût de fiel.
Puis j’ai trouvé un jour au hasard de mes fuites
Un tout petit village qui fut cher tout de suite
À mon cœur, à mon âme et j’y ai fait mon nid.
Alors j’ai savouré à chaque instant qui passe
La nature offerte et les joies qu’elle fournit
Et rencontré des gens dont jamais ne me lasse.
Où les autos passaient indifférentes aux drames
Où tant d’hommes tiraient sur leur vie à la rame
Où l’air était chargé de particules infâmes.
Dans leurs rues j’ai erré en recherche du ciel
De la chaleur humaine qui pour moi est du miel
Mais je m’y suis noyé dans trop d’artificiel
Et j’avais dans la bouche comme un goût de fiel.
Puis j’ai trouvé un jour au hasard de mes fuites
Un tout petit village qui fut cher tout de suite
À mon cœur, à mon âme et j’y ai fait mon nid.
Alors j’ai savouré à chaque instant qui passe
La nature offerte et les joies qu’elle fournit
Et rencontré des gens dont jamais ne me lasse.

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