De lencre et des larmes.
Publié le 03 août 2025
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Un murmure, un souffle, comme une hésitation
Et ce chant à l’oreille, intime vibration
Un battement de cœur, un geste suspendu
Le poète écoute, seul son esprit remue.
Un élan tout soudain, une larme qui naît
Un profond grondement, qu’il ne peut réfréner,
Un vif emportement, un brutal manque d’air
Le poète écrit, comme un cri de colère.
Un silence peuplé des seuls frémissements
Quand la nature bruisse de mille remuements
La mélodie sacrée des vies mêlées au temps
Le poète puise à l’encre de l’émerveillement.
La blessure ouverte par mille injustices
Les errements constants du mal et ses complices
L’impuissance toujours devant l’action des armes
Le poète mélange à son encre, ses larmes.
Et ce chant à l’oreille, intime vibration
Un battement de cœur, un geste suspendu
Le poète écoute, seul son esprit remue.
Un élan tout soudain, une larme qui naît
Un profond grondement, qu’il ne peut réfréner,
Un vif emportement, un brutal manque d’air
Le poète écrit, comme un cri de colère.
Un silence peuplé des seuls frémissements
Quand la nature bruisse de mille remuements
La mélodie sacrée des vies mêlées au temps
Le poète puise à l’encre de l’émerveillement.
La blessure ouverte par mille injustices
Les errements constants du mal et ses complices
L’impuissance toujours devant l’action des armes
Le poète mélange à son encre, ses larmes.

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