De vils errements.
Publié le 03 août 2025
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Comme les vents furieux qui balayent la plaine
Ou les vagues géantes qui se heurtent aux falaises
Comme les soubresauts d’une terre béante
Comme les grands brasiers qui dévorent les bois
Il existe des hommes qui débordent de haine
Pour qui être cruels ne crée pas de malaise
Qui trouvent du plaisir dans les actions violentes
Qui traquent sans pitié les faibles aux abois.
La nature est cruelle comme elle est violente
Mais ce ne sont pour elle que simples mouvements
Qui jouent à sa surface, en est-elle consciente ?
Quand elle suit des voies qui sont d’un autre temps.
Qui n’est celui des hommes qui sont eux très conscients
De ce mal qu’ils se donnent, de leurs actes violents
Qui ne voient dans la vie qu’un combat permanent
Pour qui les autres hommes ne sont pas importants.
J’ai pour mère nature le plus profond respect
Ses colères subites ne sont pas dirigées
Contre moi ni les hommes, malgré leurs durs effets
À nous de les comprendre pour mieux nous adapter,
J’ai pour celles des miens le plus profond mépris
Pour ceux qui a la vie n’attachent pas de prix
Qui volent, tuent et violent et quels que soient les cris
De ceux au nom desquels ces quelques vers j’écris.
La vie est déjà pleine de mille hasards violents
N’y ajoutons pas de peine par de vils errements.
Chassons des cœurs la haine, cet empoisonnement
Voyons où ça nous mène de nous aimer vraiment.
Ou les vagues géantes qui se heurtent aux falaises
Comme les soubresauts d’une terre béante
Comme les grands brasiers qui dévorent les bois
Il existe des hommes qui débordent de haine
Pour qui être cruels ne crée pas de malaise
Qui trouvent du plaisir dans les actions violentes
Qui traquent sans pitié les faibles aux abois.
La nature est cruelle comme elle est violente
Mais ce ne sont pour elle que simples mouvements
Qui jouent à sa surface, en est-elle consciente ?
Quand elle suit des voies qui sont d’un autre temps.
Qui n’est celui des hommes qui sont eux très conscients
De ce mal qu’ils se donnent, de leurs actes violents
Qui ne voient dans la vie qu’un combat permanent
Pour qui les autres hommes ne sont pas importants.
J’ai pour mère nature le plus profond respect
Ses colères subites ne sont pas dirigées
Contre moi ni les hommes, malgré leurs durs effets
À nous de les comprendre pour mieux nous adapter,
J’ai pour celles des miens le plus profond mépris
Pour ceux qui a la vie n’attachent pas de prix
Qui volent, tuent et violent et quels que soient les cris
De ceux au nom desquels ces quelques vers j’écris.
La vie est déjà pleine de mille hasards violents
N’y ajoutons pas de peine par de vils errements.
Chassons des cœurs la haine, cet empoisonnement
Voyons où ça nous mène de nous aimer vraiment.

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