Déconnecté
Publié le 03 août 2025
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Mes amis aujourd'hui je suis coupé du monde
Aucune connexion je ne puis établir
Quels que soient les réseaux qui partout nous inondent
Je me sens chagriné, de ne vous pouvoir lire.
Ma vie est partagée entre plusieurs espaces
Ou même dimensions, entre lesquels je passe
Mon cercle familial, mon cocon protégé
Mes amis dans le monde, choisis à la volée.
Bien sûr existe un lien pour ces réalités
Qui lie la concrète et la virtuelle
La poésie navigue comme une caravelle
Sur les jours que je vis, les ondes où je baigne.
Les deux me sont vitales, je m'y épanouis
Mes relations sociales, la plume de mes amis
C'est autant de partages différents mais nourris
Dont jamais ne me lasse, j'avoue que je suis pris.
Alors je pense à vous assis sur ma terrasse
A regarder rêveur les nuages qui passent
À sentir sur ma peau une brise câline
A goûter au repos que bientôt je devine.
C'est l'instant de la sieste où tous sont assoupis
Je me sens là dehors comme un guetteur d'esprits
Ne serais-je qu'une ombre que le temps a surpris ?
Ou simplement un homme, épris de poésie ?
Lors vous ne perdrez rien des pensées qui m'agitent
Quand la toile répondra, vous lirez tous mes vers
Que je distille pour vous parfois un peu trop vite
Cette pause imposée est sans doute nécessaire.
Aucune connexion je ne puis établir
Quels que soient les réseaux qui partout nous inondent
Je me sens chagriné, de ne vous pouvoir lire.
Ma vie est partagée entre plusieurs espaces
Ou même dimensions, entre lesquels je passe
Mon cercle familial, mon cocon protégé
Mes amis dans le monde, choisis à la volée.
Bien sûr existe un lien pour ces réalités
Qui lie la concrète et la virtuelle
La poésie navigue comme une caravelle
Sur les jours que je vis, les ondes où je baigne.
Les deux me sont vitales, je m'y épanouis
Mes relations sociales, la plume de mes amis
C'est autant de partages différents mais nourris
Dont jamais ne me lasse, j'avoue que je suis pris.
Alors je pense à vous assis sur ma terrasse
A regarder rêveur les nuages qui passent
À sentir sur ma peau une brise câline
A goûter au repos que bientôt je devine.
C'est l'instant de la sieste où tous sont assoupis
Je me sens là dehors comme un guetteur d'esprits
Ne serais-je qu'une ombre que le temps a surpris ?
Ou simplement un homme, épris de poésie ?
Lors vous ne perdrez rien des pensées qui m'agitent
Quand la toile répondra, vous lirez tous mes vers
Que je distille pour vous parfois un peu trop vite
Cette pause imposée est sans doute nécessaire.

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