Depuis le mont Caume.
Publié le 03 août 2025
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Du haut d’un éperon, j’ai contemplé Toulon
Sa rade et ses quais, sous mes yeux s’étalaient.
Tout en haut du mont Caume, où m’en étais allé
J’ai vu la mer, la côte, qui s’offraient tout du long.
À quel point l’homme ici s’étale tout son long,
La nature sauvage a partout reculé.
Sans vergogne aucune il s’est tant installé
Qu’on le voit du mont Caume, sans monter en ballon.
La beauté frappe aux yeux, malgré ce sacrilège.
La nature est ainsi avec ses sortilèges
Qu’elle gomme un peu la laideur des faubourgs.
Faut-il quitter la Terre et faut-il s’élever
Pour ainsi voir de l’homme la laideur des labours ?
D’un jour les effacer, on se prend à rêver…
Sa rade et ses quais, sous mes yeux s’étalaient.
Tout en haut du mont Caume, où m’en étais allé
J’ai vu la mer, la côte, qui s’offraient tout du long.
À quel point l’homme ici s’étale tout son long,
La nature sauvage a partout reculé.
Sans vergogne aucune il s’est tant installé
Qu’on le voit du mont Caume, sans monter en ballon.
La beauté frappe aux yeux, malgré ce sacrilège.
La nature est ainsi avec ses sortilèges
Qu’elle gomme un peu la laideur des faubourgs.
Faut-il quitter la Terre et faut-il s’élever
Pour ainsi voir de l’homme la laideur des labours ?
D’un jour les effacer, on se prend à rêver…

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