Des poésies charmantes.
Publié le 03 août 2025
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Je voudrais en livrer des poésies charmantes
Des pour faire sourire, ou des qui vous enchantent.
Mon cœur n’est pas à rire et pas plus à pleurer
Mon cœur me semble vide, tout espoir est brisé.
Trop de drames et de peines qui flottent à l’horizon
Le monde autour de moi tourne à la confusion.
Je sens venir des temps de guerres et de morts
Où il sera trop tard pour nourrir des remords.
Je m’évertue encore à respirer la fleur
À regarder l’oiseau, à chanter la rivière
A dire tout l’amour qui habite mon cœur
À boire goulûment tout ce qui est lumière.
Pourtant je sens déjà des griffes impitoyables
Lacérer ce que j’aime et des bouches voraces
Dévorer sans pitié et ne laisser de place
À toute la beauté dont le monde est capable.
Vous pourriez m’en vouloir de tricoter des vers
Aux couleurs de ces maux qui tous nous empoisonnent
J’appréhende le pire, je redoute l’enfer
Dites, si je me trompe, pourquoi donc le glas sonne ?
Je m’essaie aux bluettes et autres pitreries
Il faut bien comme vous que moi aussi je rie.
Mais le cœur n’y est pas, car tout va de travers
Et cela se ressent jusqu’au creux de mes vers.
Des pour faire sourire, ou des qui vous enchantent.
Mon cœur n’est pas à rire et pas plus à pleurer
Mon cœur me semble vide, tout espoir est brisé.
Trop de drames et de peines qui flottent à l’horizon
Le monde autour de moi tourne à la confusion.
Je sens venir des temps de guerres et de morts
Où il sera trop tard pour nourrir des remords.
Je m’évertue encore à respirer la fleur
À regarder l’oiseau, à chanter la rivière
A dire tout l’amour qui habite mon cœur
À boire goulûment tout ce qui est lumière.
Pourtant je sens déjà des griffes impitoyables
Lacérer ce que j’aime et des bouches voraces
Dévorer sans pitié et ne laisser de place
À toute la beauté dont le monde est capable.
Vous pourriez m’en vouloir de tricoter des vers
Aux couleurs de ces maux qui tous nous empoisonnent
J’appréhende le pire, je redoute l’enfer
Dites, si je me trompe, pourquoi donc le glas sonne ?
Je m’essaie aux bluettes et autres pitreries
Il faut bien comme vous que moi aussi je rie.
Mais le cœur n’y est pas, car tout va de travers
Et cela se ressent jusqu’au creux de mes vers.

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