Des réponses peut être, des questions sûrement.
Publié le 03 août 2025
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Je lève comme d’autres, souvent les yeux au ciel
Espérant y trouver des réponses peut être.
Hélas n’y entrevois que ce bleu essentiel
Que j’aime apercevoir, à travers ma fenêtre.
Je plonge comme beaucoup, au profond de moi même
Y guettant un écho, une voix, un je t’aime
Je n’y ai rencontré, hélas, que mes problèmes
Avec les quelques graines, qu’en nous la vie y sème.
Je suis entré bien sûr, dans grand nombre d’églises
En y cherchant la paix, celle dont on se grise.
Comment un mécréant pourrait trouver ses prises ?
J’ai compris un peu tard, qu’il y avait méprise.
J’ai voulu croire en l’homme, celui glorifié
Celui pétri d’amour, et plein de qualités,
Et Je n’ai rencontré que des gens ordinaires
Qui avaient, comme moi, bien trop de choses à faire.
J’ai beaucoup étudié, lu pléthore de livres
Cherchant des vérités, dans ce que tous délivrent
Je n’en ai retiré, que bien plus de questions
C’est un grand jeu d’échecs, où je ne suis qu’un pion.
Puis j’ai pris la plume, un beau jour, par hasard
Et j’ai écrit enfin mes joies, mes cauchemars
Libérant cette écume qui m’étouffait avant
En partageant mes doutes, en les livrant aux gens.
Je baisse à présent mes yeux sur un écran
Tout prêt à recueillir tous mes questionnements.
Je plonge à sa surface, miroir de mes pensées
Et les mots y jaillissent, comme s’ils étaient pressés.
Espérant y trouver des réponses peut être.
Hélas n’y entrevois que ce bleu essentiel
Que j’aime apercevoir, à travers ma fenêtre.
Je plonge comme beaucoup, au profond de moi même
Y guettant un écho, une voix, un je t’aime
Je n’y ai rencontré, hélas, que mes problèmes
Avec les quelques graines, qu’en nous la vie y sème.
Je suis entré bien sûr, dans grand nombre d’églises
En y cherchant la paix, celle dont on se grise.
Comment un mécréant pourrait trouver ses prises ?
J’ai compris un peu tard, qu’il y avait méprise.
J’ai voulu croire en l’homme, celui glorifié
Celui pétri d’amour, et plein de qualités,
Et Je n’ai rencontré que des gens ordinaires
Qui avaient, comme moi, bien trop de choses à faire.
J’ai beaucoup étudié, lu pléthore de livres
Cherchant des vérités, dans ce que tous délivrent
Je n’en ai retiré, que bien plus de questions
C’est un grand jeu d’échecs, où je ne suis qu’un pion.
Puis j’ai pris la plume, un beau jour, par hasard
Et j’ai écrit enfin mes joies, mes cauchemars
Libérant cette écume qui m’étouffait avant
En partageant mes doutes, en les livrant aux gens.
Je baisse à présent mes yeux sur un écran
Tout prêt à recueillir tous mes questionnements.
Je plonge à sa surface, miroir de mes pensées
Et les mots y jaillissent, comme s’ils étaient pressés.

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