Des rires et des danses
Publié le 03 août 2025
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À mon enterrement ne faites pas silence
De la paix j’en aurais plus que n’en veux je pense.
Je demande des rires, des chansons et des danses
Comme un joyeux clin d’œil à ma propre existence.
J’ai tant et tant reçu par belle providence
D’amour et de confiance, j’ai eu moi cette chance
De naître tout d’abord en ce pays de France
Et d’une éducation éveillant la conscience.
Je n’ai comme tant d’autres souffert d’aucune absence
Mes parents étaient là, j’en ai fort souvenance,
Pour m’aider à grandir grâce à leur confiance
Je n’ai manqué d’amour, pour ça pas de carence.
J’ai affronté la vie, du monde la cadence
Ce rythme un peu fou qui n’a pas de vacance
J’ai aimé, j’ai souffert, j’ai fait bien des dépenses
J’ai regretté des hommes les actes de démence.
J’ai aimé la nature et sa magnificence
J’ai compris de l’amour combien il est immense.
J’ai oeuvré pour le mieux mais sans grande patience
J’ai écris des pensées dont je fais confidence.
À mon enterrement, je fais à tous défense
De souffrir, d’être triste, de pleurer en silence
Qu’ils récitent des vers ou mêmes quelques stances
Qu’ils rient en souvenir d’une ancienne présence.
De la paix j’en aurais plus que n’en veux je pense.
Je demande des rires, des chansons et des danses
Comme un joyeux clin d’œil à ma propre existence.
J’ai tant et tant reçu par belle providence
D’amour et de confiance, j’ai eu moi cette chance
De naître tout d’abord en ce pays de France
Et d’une éducation éveillant la conscience.
Je n’ai comme tant d’autres souffert d’aucune absence
Mes parents étaient là, j’en ai fort souvenance,
Pour m’aider à grandir grâce à leur confiance
Je n’ai manqué d’amour, pour ça pas de carence.
J’ai affronté la vie, du monde la cadence
Ce rythme un peu fou qui n’a pas de vacance
J’ai aimé, j’ai souffert, j’ai fait bien des dépenses
J’ai regretté des hommes les actes de démence.
J’ai aimé la nature et sa magnificence
J’ai compris de l’amour combien il est immense.
J’ai oeuvré pour le mieux mais sans grande patience
J’ai écris des pensées dont je fais confidence.
À mon enterrement, je fais à tous défense
De souffrir, d’être triste, de pleurer en silence
Qu’ils récitent des vers ou mêmes quelques stances
Qu’ils rient en souvenir d’une ancienne présence.

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