Deux ou trois triolets
Publié le 03 août 2025
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qui prennent tout leur temps
L’aube quand l’horizon blêmit
Que soudain y naît la lumière
Comme un espoir qui frémit.
L’aube quand l’horizon blêmit
À chaque fois la nuit gémit
Elle n’aime pas sa prière.
L’aube quand l’horizon blêmit
Que soudain y naît la lumière.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Quand sombre un jour fatigué
Dans un ailleurs où tout bascule.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Dans une ombre où l’espoir recule
Quand les peurs viennent se liguer.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Quand sombre un jour fatigué.
Qui ne se plaint du temps qui fuit
En abandonnant la jeunesse.
Et quel que soit l’espoir qui luit
Qui ne se plaint du temps qui fuit ?
Si le présent c’est aujourd’hui
De vieillir jamais on ne cesse.
Qui ne se plaint du temps qui fuit
En abandonnant la jeunesse.
L’aube quand l’horizon blêmit
Que soudain y naît la lumière
Comme un espoir qui frémit.
L’aube quand l’horizon blêmit
À chaque fois la nuit gémit
Elle n’aime pas sa prière.
L’aube quand l’horizon blêmit
Que soudain y naît la lumière.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Quand sombre un jour fatigué
Dans un ailleurs où tout bascule.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Dans une ombre où l’espoir recule
Quand les peurs viennent se liguer.
Qui n’a tremblé au crépuscule
Quand sombre un jour fatigué.
Qui ne se plaint du temps qui fuit
En abandonnant la jeunesse.
Et quel que soit l’espoir qui luit
Qui ne se plaint du temps qui fuit ?
Si le présent c’est aujourd’hui
De vieillir jamais on ne cesse.
Qui ne se plaint du temps qui fuit
En abandonnant la jeunesse.

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