Droit devant.
Publié le 03 août 2025
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Lorsque j’étais petit que j’avais peur du noir
Je vivais au grand jour et le cœur plein d’espoir
Lorsque je devins grand, cette peur s’envola
Mais me parut bien sombre le monde que voilà.
Pour rassurer l’enfant, papa ou maman chante
L’amour dissipe tout. car la peur ne l’enfante.
Pour apaiser l’adulte la chanson ne suffit
Surtout quand aux mensonges, tant d’autres gens se fient.
L’enfant rêve d’ailleurs, de mondes enchantés
Ou alors se fait peur, mais sait que ce n’est vrai.
Le grand veut le meilleur, combien d’erreurs il fait ?
L’adulte aurait-il peur de voir la vérité ?
Je fus de ces enfants très longtemps protégés
Que mes parents voulaient à l’abri des dangers.
Parce que eux savaient combien la vie est dure
Qu’il faut les préparer à cette aventure.
C’est par l’éducation que l’on arme l’enfant
Pour qu’il n’avale pas les plus grossiers mensonges
Pour qu’il puisse affronter, pas seulement en songe
Les dangers de la vie, en être triomphant.
Je fais parfois encore de vilains cauchemars
Qui toujours se dissipent avec le jour naissant.
Mais à peine éveillé je suis hélas conscient
De ce qui est devant, si point on ne s’en gare.
Je vivais au grand jour et le cœur plein d’espoir
Lorsque je devins grand, cette peur s’envola
Mais me parut bien sombre le monde que voilà.
Pour rassurer l’enfant, papa ou maman chante
L’amour dissipe tout. car la peur ne l’enfante.
Pour apaiser l’adulte la chanson ne suffit
Surtout quand aux mensonges, tant d’autres gens se fient.
L’enfant rêve d’ailleurs, de mondes enchantés
Ou alors se fait peur, mais sait que ce n’est vrai.
Le grand veut le meilleur, combien d’erreurs il fait ?
L’adulte aurait-il peur de voir la vérité ?
Je fus de ces enfants très longtemps protégés
Que mes parents voulaient à l’abri des dangers.
Parce que eux savaient combien la vie est dure
Qu’il faut les préparer à cette aventure.
C’est par l’éducation que l’on arme l’enfant
Pour qu’il n’avale pas les plus grossiers mensonges
Pour qu’il puisse affronter, pas seulement en songe
Les dangers de la vie, en être triomphant.
Je fais parfois encore de vilains cauchemars
Qui toujours se dissipent avec le jour naissant.
Mais à peine éveillé je suis hélas conscient
De ce qui est devant, si point on ne s’en gare.

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