Écho.
Publié le 03 août 2025
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Un bourgeon a éclos de façon bien timide
Quelque part sur la branche encore bien humide
Il adresse à la vie comme un simple écho
Celui de cet arbre qui offre un tel écot.
Quand tous les nouveaux nés sont des signes d’espoir
Qui effacent un peu les ombres dans le soir
Quand ce que la vie crée et qui alors surgit
Ajoute à ce qui est un peu plus d’énergie
Les sourires éclairent un peu mieux la journée
Devant cette fragilité de tout ce qui renaît,
Et devant cette force qui s’affirme si pleine
De promesses chargée qu’elle efface les peines.
Un bourgeon au matin à ouvert sa corolle
Tout comme cet enfant qui court à son école
Pour suivre ce chemin que lui ouvre la vie
Sans même en soupçonner la moindre avanie.
Tout empli de confiance, il ne connaît le doute
Il ne voit les embûches qui seront sur sa route.
Il ouvre grand les yeux, il y a tant à apprendre
Tant de bonnes choses, qu’il rêve déjà de prendre.
Disons fort au bourgeon, bienvenue camarade !
Ne lui montrons trop tôt l’ombre de la camarde.
Il est notre avenir, quand nous sommes hélas
De plus proches victimes du temps qui nous dépasse.
Quelque part sur la branche encore bien humide
Il adresse à la vie comme un simple écho
Celui de cet arbre qui offre un tel écot.
Quand tous les nouveaux nés sont des signes d’espoir
Qui effacent un peu les ombres dans le soir
Quand ce que la vie crée et qui alors surgit
Ajoute à ce qui est un peu plus d’énergie
Les sourires éclairent un peu mieux la journée
Devant cette fragilité de tout ce qui renaît,
Et devant cette force qui s’affirme si pleine
De promesses chargée qu’elle efface les peines.
Un bourgeon au matin à ouvert sa corolle
Tout comme cet enfant qui court à son école
Pour suivre ce chemin que lui ouvre la vie
Sans même en soupçonner la moindre avanie.
Tout empli de confiance, il ne connaît le doute
Il ne voit les embûches qui seront sur sa route.
Il ouvre grand les yeux, il y a tant à apprendre
Tant de bonnes choses, qu’il rêve déjà de prendre.
Disons fort au bourgeon, bienvenue camarade !
Ne lui montrons trop tôt l’ombre de la camarde.
Il est notre avenir, quand nous sommes hélas
De plus proches victimes du temps qui nous dépasse.

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