Écrits sur du papier...
Publié le 03 août 2025
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Ah ce plaisir de lire, écrits sur le papier
Tous les mots dans ces livres, quelles moissons j’y fais
Tourner alors la page sans même y prendre garde
Emporté par l’histoire, ailleurs, un peu hagard.
Toucher la couverture, puis l’ouvrir doucement
Pour découvrir alors de nouveaux engouements
Promesses de voyages et d’émerveillements
Je as Un coffre aux trésors prêt au dépouillement.
Pour ceux qui comme moi ont grandi entourés
De ces magiques objets divers et colorés
Soigneusement rangés sur de hautes étagères
Ou bien éparpillés de façon passagère,
Les livres nous fascinent ce sont là les conserves
De mille connaissances pour des lecteurs en herbe
De tant de découvertes que l’on ne soupçonnait
Pour notre imaginaire tout ce qu’on ne connaît.
Ce subtil frôlement de la page effleurée
Dans le silence le soir de la chambre feutrée
Était cette musique qui m’accompagnait
Sous les draps cachés, quand je les feuilletais.
Je n’avais qu’une hâte quand j’en étais distrait
C’est d’aller retrouver toutes ces aventures
Pour être ce héros bien plus fort que nature
Auquel aucun obstacle ne pouvait résister.
À présent que j’écris sur l’ardoise magique
De ces modernes écrans bourrés d’électronique
J’ai toujours ce plaisir de voir naître les mots
Mais plus le chant subtil du papier en écho.
Tous les mots dans ces livres, quelles moissons j’y fais
Tourner alors la page sans même y prendre garde
Emporté par l’histoire, ailleurs, un peu hagard.
Toucher la couverture, puis l’ouvrir doucement
Pour découvrir alors de nouveaux engouements
Promesses de voyages et d’émerveillements
Je as Un coffre aux trésors prêt au dépouillement.
Pour ceux qui comme moi ont grandi entourés
De ces magiques objets divers et colorés
Soigneusement rangés sur de hautes étagères
Ou bien éparpillés de façon passagère,
Les livres nous fascinent ce sont là les conserves
De mille connaissances pour des lecteurs en herbe
De tant de découvertes que l’on ne soupçonnait
Pour notre imaginaire tout ce qu’on ne connaît.
Ce subtil frôlement de la page effleurée
Dans le silence le soir de la chambre feutrée
Était cette musique qui m’accompagnait
Sous les draps cachés, quand je les feuilletais.
Je n’avais qu’une hâte quand j’en étais distrait
C’est d’aller retrouver toutes ces aventures
Pour être ce héros bien plus fort que nature
Auquel aucun obstacle ne pouvait résister.
À présent que j’écris sur l’ardoise magique
De ces modernes écrans bourrés d’électronique
J’ai toujours ce plaisir de voir naître les mots
Mais plus le chant subtil du papier en écho.

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