Égaré.
Publié le 03 août 2025
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Je m’égare à plaisir, dans des rêves sans but
Dont je ne me souviens jamais bien du début
Peu m’importe, s’ils m’emportent très loin à toutes voiles
Imprégnés de couleurs qui ne sont sur la toile.
Je n’en ramène hélas, qu’impressions fugitives
De celles qui sont floues, tant elles sont furtives
Comme si ces scènes, un instant entrevues
N’étaient pas dans ce monde pour y être vécues.
Derrière les miroirs, les rideaux déchirés
Il y a ces dimensions qu’on veut imaginer
N’existeraient-elles que pour être rêvées
Qu’elles n’en sont pas moins, belles dans nos pensées.
Si peu de prises on a sur nos réalités
Où trop souvent se brisent nos espoirs insensés
Qu’on choisit bien souvent, de pouvoir s’évader
Pour mieux créer des mondes, tels qu’on veut les rêver.
J’ai cette chance là, sans besoin de substances
D’aller me promener, là où les elfes dansent
Je bouche mes oreilles et me ferme les yeux
J’accède à des merveilles qui me rendent joyeux.
J’ai aussi ce bonheur, lorsque j’ouvre les yeux
De voir ton beau sourire, toujours si chaleureux
De vivre ton amour, dont jamais ne me lasse
Quant aux rêves il leur laisse, une petite place.
Dont je ne me souviens jamais bien du début
Peu m’importe, s’ils m’emportent très loin à toutes voiles
Imprégnés de couleurs qui ne sont sur la toile.
Je n’en ramène hélas, qu’impressions fugitives
De celles qui sont floues, tant elles sont furtives
Comme si ces scènes, un instant entrevues
N’étaient pas dans ce monde pour y être vécues.
Derrière les miroirs, les rideaux déchirés
Il y a ces dimensions qu’on veut imaginer
N’existeraient-elles que pour être rêvées
Qu’elles n’en sont pas moins, belles dans nos pensées.
Si peu de prises on a sur nos réalités
Où trop souvent se brisent nos espoirs insensés
Qu’on choisit bien souvent, de pouvoir s’évader
Pour mieux créer des mondes, tels qu’on veut les rêver.
J’ai cette chance là, sans besoin de substances
D’aller me promener, là où les elfes dansent
Je bouche mes oreilles et me ferme les yeux
J’accède à des merveilles qui me rendent joyeux.
J’ai aussi ce bonheur, lorsque j’ouvre les yeux
De voir ton beau sourire, toujours si chaleureux
De vivre ton amour, dont jamais ne me lasse
Quant aux rêves il leur laisse, une petite place.

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