En dépit de toute vanité.
Publié le 03 août 2025
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Telle une goutte d’eau dans l’océan instable
Tel un fétu de paille dans un grand champ de blé
Telle une poussière noyée au vent des sables
Je sais la liberté qui reste à l’unité.
Telle une vie qui vibre parmi tant de millions
Tel un homme au milieu de nombre d’histrions
Tel un cri trop perdu au sein de la clameur
Je sais l’inanité de toute vanité.
Tel l’humble ver de terre qui laboure sans fin
Tel le moindre brin d’herbe qui veut jaillir du sol
Telle une montée de sève le long des tiges folles
Je connais cette force qu’a toute volonté.
Tel un rayon de lune qui miroite sur l’eau
Telle une mer tranquille où flotte les bateaux
Le champ de cerisier en neige de printemps
J’aime à m’incliner devant tant de beauté.
Tel est le laboureur qui trace son sillon
Ou la fleur que butine le simple papillon
Ou le miel de l’abeille qui croit dans le rucher
Je sais que toute vie a son utilité.
Tel un fétu de paille dans un grand champ de blé
Telle une poussière noyée au vent des sables
Je sais la liberté qui reste à l’unité.
Telle une vie qui vibre parmi tant de millions
Tel un homme au milieu de nombre d’histrions
Tel un cri trop perdu au sein de la clameur
Je sais l’inanité de toute vanité.
Tel l’humble ver de terre qui laboure sans fin
Tel le moindre brin d’herbe qui veut jaillir du sol
Telle une montée de sève le long des tiges folles
Je connais cette force qu’a toute volonté.
Tel un rayon de lune qui miroite sur l’eau
Telle une mer tranquille où flotte les bateaux
Le champ de cerisier en neige de printemps
J’aime à m’incliner devant tant de beauté.
Tel est le laboureur qui trace son sillon
Ou la fleur que butine le simple papillon
Ou le miel de l’abeille qui croit dans le rucher
Je sais que toute vie a son utilité.

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