Endormis.
Publié le 03 août 2025
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Je m’étais endormi aux refrains de l’enfance
Ceux qui me disaient, vis les choses en confiance.
Je me suis éveillé dans le pays de France
Rien n’y était plus de l’ancienne existence.
Les mots qui autrefois résonnaient dans les cœurs
Étaient mis au rebut des trop vieilles valeurs.
Ce monde était aux mains des plus fieffés voleurs
Qui riaient tout là-haut, lors que le peuple a peur.
Je m’étais assoupi, du rêve dans les yeux
Je vis un cauchemar sous ces tout nouveaux cieux.
Ce en quoi j’avais cru n’était plus partagé
Que par de rares gens qu’on disait enragés.
Que s’est-il donc passé ? Qu’a-t-on perdu en route ?
Des valeurs du passé ne reste qu’une croûte
Un vernis, un soupçon et un monceau de doutes
La vieille République est mise en déroute.
Quand le chacun pour soi a pris toute la place
Lorsqu’á l’argent roi, nouveau Dieu, on rend grâce,
D’égalité , liberté ou fraternité
On ne parle plus dans cette société,
Seulement pour masquer les plus viles manœuvres
De ceux qui à présent et partout sont à l’œuvre
Pour s’emparer de tout et à leur seul profit
En se jouant d’un peuple qui point ne s’en défie.
Je me suis réveillé dans un monde endormi
Trompé par les mensonges de ses pires ennemis
Les peuples restent aveugles et demeurent soumis
Dites-moi quel espoir est-il encor’ permis ?
Ceux qui me disaient, vis les choses en confiance.
Je me suis éveillé dans le pays de France
Rien n’y était plus de l’ancienne existence.
Les mots qui autrefois résonnaient dans les cœurs
Étaient mis au rebut des trop vieilles valeurs.
Ce monde était aux mains des plus fieffés voleurs
Qui riaient tout là-haut, lors que le peuple a peur.
Je m’étais assoupi, du rêve dans les yeux
Je vis un cauchemar sous ces tout nouveaux cieux.
Ce en quoi j’avais cru n’était plus partagé
Que par de rares gens qu’on disait enragés.
Que s’est-il donc passé ? Qu’a-t-on perdu en route ?
Des valeurs du passé ne reste qu’une croûte
Un vernis, un soupçon et un monceau de doutes
La vieille République est mise en déroute.
Quand le chacun pour soi a pris toute la place
Lorsqu’á l’argent roi, nouveau Dieu, on rend grâce,
D’égalité , liberté ou fraternité
On ne parle plus dans cette société,
Seulement pour masquer les plus viles manœuvres
De ceux qui à présent et partout sont à l’œuvre
Pour s’emparer de tout et à leur seul profit
En se jouant d’un peuple qui point ne s’en défie.
Je me suis réveillé dans un monde endormi
Trompé par les mensonges de ses pires ennemis
Les peuples restent aveugles et demeurent soumis
Dites-moi quel espoir est-il encor’ permis ?

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