Enfin, la pluie !
Publié le 03 août 2025
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Quand j’ai posé le pied, ce n’était que mâtines
Dans l’herbe bien mouillée après une pluie fine,
J’ai senti tout autour la vie qui reprenait
Sous les bienfaits vitaux de la divine ondée.
Les arbres semblaient dire, enfin te voilà
Toi qu’on a attendue, pendant tous ces longs mois,
Les fleurs ne disaient rien, juste elles s’ouvraient
Toute corolle offerte, pour la remercier.
La terre desséchée refermait bien ses plaies
Les vilaines crevasses, qui hier la parcouraient
Et l’eau dans les gouttières se mettait à chanter
Et remplissait les bacs où on la recueillait.
La pluie c’est trop souvent qu’on pense qu’elle gêne
Oubliant, inconscients, qu’elle est la vie même.
Après des temps trop secs, qui ne s’en va prier
Qu’elle revienne vite et se mette à tomber ?
Dans l’herbe bien mouillée après une pluie fine,
J’ai senti tout autour la vie qui reprenait
Sous les bienfaits vitaux de la divine ondée.
Les arbres semblaient dire, enfin te voilà
Toi qu’on a attendue, pendant tous ces longs mois,
Les fleurs ne disaient rien, juste elles s’ouvraient
Toute corolle offerte, pour la remercier.
La terre desséchée refermait bien ses plaies
Les vilaines crevasses, qui hier la parcouraient
Et l’eau dans les gouttières se mettait à chanter
Et remplissait les bacs où on la recueillait.
La pluie c’est trop souvent qu’on pense qu’elle gêne
Oubliant, inconscients, qu’elle est la vie même.
Après des temps trop secs, qui ne s’en va prier
Qu’elle revienne vite et se mette à tomber ?
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