Facile de détruire.
Publié le 03 août 2025
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Il n’y a plus d’amour, dans ces cœurs bien trop lourds
Trop chargés de colères, trop encombrés de peur,
Ils ne croient plus du tout, au retour des beaux jours
Imprégnés de lumière, et ouverts au bonheur.
Casser cette confiance, qu’il avaient dans la vie
Voyez cette souffrance qui les a envahit
Comme il est facile, de détruire ces vies
Combien il sera long, de redonner l’envie.
Il n’y a plus d’espoir, dans ces esprits trop noirs
Trop brouillés par la haine, avides de revanche
Ils ne croient plus au soir, ni aux heures de gloire
Sans chaînes, légères comme étaient leurs dimanches.
Briser la générosité, qu’ils avaient, magnanimes
Voyez cette fureur, qui les ronge à présent
Comme il est rapide, d’en faire des victimes
Combien il sera long, d’en refaire des gens.
Il n’y a plus de lueurs dans ces yeux trop éteints
Trop brûlés par les larmes, trop vidés d’émotion
Ils ne voient plus du tout la fin de leurs peines
Des couleurs de la joie, ils n’ont plus la notion.
Étouffer cette flamme, qui animait leurs vies
Voyez comme sont gris, leurs regards de momies
Comme il est facile, d’en faire des zombies
Combien c’est compromis, de renouer leurs vies.
Trop chargés de colères, trop encombrés de peur,
Ils ne croient plus du tout, au retour des beaux jours
Imprégnés de lumière, et ouverts au bonheur.
Casser cette confiance, qu’il avaient dans la vie
Voyez cette souffrance qui les a envahit
Comme il est facile, de détruire ces vies
Combien il sera long, de redonner l’envie.
Il n’y a plus d’espoir, dans ces esprits trop noirs
Trop brouillés par la haine, avides de revanche
Ils ne croient plus au soir, ni aux heures de gloire
Sans chaînes, légères comme étaient leurs dimanches.
Briser la générosité, qu’ils avaient, magnanimes
Voyez cette fureur, qui les ronge à présent
Comme il est rapide, d’en faire des victimes
Combien il sera long, d’en refaire des gens.
Il n’y a plus de lueurs dans ces yeux trop éteints
Trop brûlés par les larmes, trop vidés d’émotion
Ils ne voient plus du tout la fin de leurs peines
Des couleurs de la joie, ils n’ont plus la notion.
Étouffer cette flamme, qui animait leurs vies
Voyez comme sont gris, leurs regards de momies
Comme il est facile, d’en faire des zombies
Combien c’est compromis, de renouer leurs vies.

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